Les paris sur mobile, c'est du pari en ligne, donc même traitement qu'Internet. En fait, faudra distinguer "réseau en dur" (les points courses"physiques" (bar, tabacs, stations-services...), toujours sous monopole du PMU et réseau "virtuel" (Internet + smartphone), ouvert à la concurrence.
je me souviens (que c'est loin, nostalgie) d'une époque ou les masses étaient séparées entre pmh et pmu, à cette époque il était bien souvent plus intéressant de jouer aux courtines plutôt que dans le pmu du coin, mais pour cela il fallait être proche d'un hippodrome dont la réunion était "support pmu"; c'est à dire les hippodromes de la capitale. c'était l'époque réunion 1 et 2 et pis cé tou : un temps ou il n'y avait pas un quinté tous les jours, un temps ou les paris proposés par course étaient : simple, couplé, trio (pas toujours) et une course avec pari tiercé quarté quinté (jeudi, samedi, dimanche) un temps ou les enjeux se posaient en masse sur ces quelques jeux et ou les rapports étaient rémunérateurs sans être obligé de trouver un "abandonné" à 50/1 ou plus. un temps ou le quinté ne s'apparentait pas au loto; quand tu as fait le papier, que tu as le quinté dans l'ordre (ou désordre) et que ta réflexion était récompensée et pas par une tirelire. la multiplication des réunions, des opérateurs, des différents jeux (éparpillement max des enjeux) font que les sommes glanées sont plus faibles et l'intérêt de ces opérateurs est le recyclage. aujourd'hui la clientèle est plus versatile et pour maintenir le C.A le principal opérateur est obligé "d'innover", en réalité c'est une fuite en avant. j'étais contre l'ouverture des paris hippiques au privé, les 4 ans qui viennent de passer me conforte dans ce que pensais alors. que ferait Emile Riotteau aujourd'hui ?
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