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 jmj |
 # 18 ≡ Re: Curiosités dans les rapports PMU |
Course B
41 posts depuis
le 20/4/2004
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lu sur paris-turf
Mardi noir
Tout s'annonçait bien, le quinté des trotteurs cagnois avait plutôt fière allure et l'on attendait aussi le «Palaminy» à Pau. Puis Pierre-Joseph Goetz annonça à l'antenne d'Equidia qu'une panne électrique à la centrale du PMU d'Evry privait toute la France de parier, quel que soit l'hippodrome.
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Il s'ensuivit alors une vraie cacophonie. En effet, la troisième course de Cagnes, qui devait partir à 14 h 50, était alors prévue à 15 heures. Puis elle fut repoussée à 15 h 15, puis à 15 h 30... Les professionnels commençaient à s'impatienter et devenaient aussi électriques que la panne !
Certains drivers étaient sur la piste depuis une demi-heure, alors que d'autres attendaient la suite des événements aux écuries. C'est alors que Yannick-Alain Briand, fort logiquement, a lancé, un peu irrité : «Moi, je veux bien être conciliant, mais j'aimerais tout de même bien savoir à quelle heure on doit faire les heats !» Derrière lui, on a aperçu avec satisfaction Sophie Blanchetière, dont la sévère chute survenue en début de meeting d'hiver, ne sera plus, bientôt, qu'un mauvais souvenir. Puis Robert Roucayrol, secrétaire général de la SCCA, est venu sur le plateau d'Equidia, parlant peu, mais bien : «C'est un jour noir, un manque à gagner pour tout le monde, mais on ne peut pas attendre éternellement ; il faut bien prendre une décision. Et nous l'avons prise : on court la troisième course à 15 h 51 et toutes les autres épreuves avec une heure de retard. Heureusement qu'il s'agit d'une réunion de trot, car nous pourrons ainsi courir les dernières avec
l'éclairage des nocturnes.»
C'était de toute évidence la bonne décision. Etions-nous au bout de nos ennuis ? Pas du tout... En Belgique, à Kuurne, Jos Verbeeck et Dominik Locqueneux s'accrochaient en partant, et le Grand Prix d'Hiver, couru très en retard, a finalement connu deux faux départ... si bien qu'il ne put être diffusé qu'en différé puisqu'on courait le «Palaminy» en même temps en Béarn ! Là-bas aussi, c'était un peu le cirque, avec des hostilités en retard d'une demi-heure.
Ça l'était aussi après l'arrivée du «réclamer», où le «Trapenard» Lieu Dit de Sivola, qui avait gagné d'une demi-ligne droite, a été distancé, son jockey ayant provoqué, par son mouvement à la sortie du premier tournant, des remous et bien des dégâts.
Sur le plateau d'Equidia, Jefferson s'en est très bien tiré, car il fallait meubler et toujours meubler, ce qui, croyez-nous, n'est pas un exercice très facile. A ses côtés, Etienne Gaudel, dit Marcel Amont, n'était pas loin de se perdre dans ses allures. «Jeff» aussi, qui annonça : «Tiens, voilà des cotes ! Mais sont-elles bonnes ? J'ai vraiment un gros doute...»
Le timing Cagnes-Pau-Kuurne s'était évanoui au fil des heures. Il y a des jours comme ça où rien ne va. C'est terrible !
5 millions d'euros de manque à gagner
La panne électrique a eu de lourdes conséquences sur les enjeux nationaux. Ainsi peut-on estimer le manque à gagner à plus de 5 millions d'euros, les sommes engagées n'ayant atteint que 14,4 millions d'euros, alors que la recette escomptée était de 20 millions d'euros.
Cagnes a totalisé (PMU + hippodrome) 12.974.502 euros (- 17,7 %), Pau 1.396.563 euros (- 65,87 %), tandis que seuls 195.734 euros ont été misés sur Kuurne (intégrée à la réunion I de Cagnes). |
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| 10.02.05 - 12:33 |
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| jmj |
# 20 ≡ Re: Curiosités dans les rapports PMU |
Course B
41 posts depuis
le 20/4/2004
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lu sur paris-turf
Erreur de frappe au PMU
Cotes fausses. Dans le Prix d'Helsinki, couru vendredi 4 mars sur l'hippodrome de Cagnes-sur-Mer, les cotes finales des participants ont eu de quoi étonner nos lecteurs. Ayant ouvert à 1/10, L'Amiral Mauzun (J.-M. Bazire, arrivé deuxième) était finalement proposé à la cote de 21/4, alors que le lauréat, L'Océan d'Urfist (J. Guelpa), annoncé à l'ouverture à 24/1, affichait une cote finale de 29/10. Les autres cotes finales étaient tout aussi farfelues...
Interrogé à ce sujet, le PMU a expliqué que très peu de temps avant le départ de la course une mise gagnante de 400.000 euros avait été enregistrée dans un point de vente, évidemment due à une erreur de saisie. Après vérification, le pari a été annulé mais pas assez tôt pour que les cotes finales ne soient pas influencées par cet enjeu.
En revanche, les rapports n'ont pas pris en compte cette «faute de frappe»... |
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| 10.03.05 - 11:22 |
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