celui qui passait la sur multiplié dans la monté de Vincennes laissant ses adversaires à la dérive n'a jamais eue droit à un hommage sur ce forum , on a parlé que de sa mort! voici un lien sur son œuvre et les pages d'histoire du trot qu'il a écrit http://fr.wikipedia.org/wiki/Lurabo
Le rouleau compresseur, c'est le surnom qu'on donnait à Bellino II, c'était quand même, à mon avis une autre pointure, monté et attelé. C'était aussi une autre génération...
il est vrai que comparé à bellino ll ,mais bon il n'empêche que c'était un grand champion surtout qu'à attaqué dans la monté à cette époque ça n'a plus rien à voir avec celle d'aujourd'hui
En fait, Lurabo avait été surnommé le 2ème rouleau compresseur, en hommage à son ainé Bellino II, qui appartenait au même propriétaire (Monsieur Macheret - également leur éleveur). A l'époque, ces champions avaient été des précurseurs car ils n'étaient pas issus d'une région d'élevage traditionnelle (nés dans les Alpes).
Lurabo faisait exploser le peloton en attaquant dans la montée de Vincennes, qui était beaucoup plus prononcée que maintenant ! A propos de Bellino II : Bellino II passant le peloton en revue dans la montée reste l'un de mes plus beaux souvenirs de courses de trot. J'en ai toujours des frissons en l'évoquant..
Sincèrement au risque de déplaire Lurabo était une Formule 1 un cheval d'une amplitude, d'une beauté et d'un abattage hors norme. Bellino II était un classique sous la selle jeune qui s'est adapté par JR à l'attelé et déposait son coeur sur la piste. Un diesel qui allait tout le temps sans faiblir et surtout en haut de la cote quand les autres demandaient à souffler. Par contre c'était un besogneux, un répétitif pas pur dans ses allures et surtout une force de la nature. D'ailleurs il est mort rapidement, prouvant par là, qu'il avait laissé une partie de santé sur les pistes. Jag de bellouet avait un profil à la Bellino II en moins bon et surtout il a rencontré Joss et même après il était loin d’être beau en course, étant souvent limite dans ses allures dans la montée et le dernier virage. Sa fameuse troisième place dans le PA de Kesaco est un modèle d'allures heurtées.
D'ailleurs il est mort rapidement, prouvant par là, qu'il avait laissé une partie de santé sur les pistes.
Pour mémoire, le grand Bellino est mort dans d'atroces souffrances d'une hernie inguinale non diagnostiquée, le véto ayant confondu les symptomes avec des coliques graves. Son lad (le célèbre René Sala) avait hurlé sa colère le matin de la mort de Bellino, en disant que son champion avait été assassiné. Rien à voir avec de la fatigue due à sa carrière.
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lurabo le rouleau compresseur
