Groupe I
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Eleazar75, Citation :Rien ne permet de dire qu'il ne l'est pas
Ah bon ? Ce n'était pas la raison de sa suspension précédente?
J'ai pourtant lu cette interview de Nivard à Bernardet en 2012:( au passage j'ai mis en gras une réflexion qui sonne étrangement moderne) " Que s’est-il réellement passé ?
« Pour une fois, je ne me rendais nulle-part, en province, ce mardi, n’étant sollicité que pour la nocturne. Avec des « clients » (NDR : des propriétaires qui lui ont confié des chevaux à l’entraînement), nous avions coché cette date, depuis un moment, sur nos agendas, pour déjeuner ensemble. Cela fait, aussi, partie du métier… Je concède que nous avons « bien vécu », mais sans faire non plus de folies. Lydie, ma femme, nous a ramenés à Grosbois, à l’écurie. Puis, Lydie toujours au volant, nous sommes partis pour Vincennes. Tu te doutes que si mon épouse m’avait trouvé éméché, elle ne m’y aurait pas conduit. Une fois sur place, j’ai été prévenu que, ce soir-là, l’un des contrôles à l’éthylotest tombait sur moi… Tu penses bien que si je ne me sentais pas en état de driver, ou un peu « gai », j’aurais pu prétexter n’importe quelle excuse pour m’y soustraire… Genre : je ne suis pas bien du tout, fiévreux, hyper-tendu, où je ne sais quoi, et j’aurais demandé à me faire remplacer, ce qui serait passé comme une lettre à la poste. Au contraire, j’ai accepté de « souffler », et, à ma grande surprise, j’étais « positif »… Ce qui en a suivi est des plus « normal ». »
Quelles conclusions ?
« Je pensais, honnêtement, être au dessous des 0,5 g/l fatidiques… Peut-être faudrait-il instaurer la tolérance « 0 », pour la compétition, comme elle est en place dans beaucoup de pays étrangers. Ainsi, tu n’aurais pas le moindre doute. Tu te mets au sulky, ou en selle ? Tu ne bois même pas une bière avant la réunion, diurne ou nocturne. Par ailleurs, et en allant encore plus loin, plutôt que d’effectuer ces vérifications, au petit bonheur la chance, autant que tous les drivers ou jockeys concernés se soumettent à ce test, comme, là encore, c’est parfois le cas en dehors de nos frontières. »
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Après rien ne dit qu'il l'est toujours, loin de là, mais il prend peu de précautions disons. |
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