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 ricou |
 # 14 ≡ Re: journalistes d |
Course A
124 posts depuis
le 27/5/2005
De : ile de france
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ouais moi aussi je la trouve bien LFV,et en plus elle est toujours de bonne humeur et quand elle fait sa minaude,je la trouve marrante,elle a de l'humour.
Mais celui que je préfère c'est JF Mary,il connait son boulot et présente toujours impeccable.
Il y en a un aussi,consultantdans le Sud est,Gauvin ou Gaudin,je ne sais pas trop,mais il s'y connait et connait tous les pros du Sud est et quand il donne un renseignement c'est toujours de 1 ere.
Il drive encore à l'entrainement,il a les cheveux gris et est resté sympa.
A TOUS LES COUPS,JOUER FAIT GAGNER DE L'ADRENALINE !!! |
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| 03.06.05 - 18:25 |
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| cadoudal |
# 15 ≡ Re: journalistes d |
Groupe III
479 posts depuis
le 12/10/2004
De : porte St-Cloud
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Article du Paris Turf du 12/08/2005
Lise Février-Vincent prend du recul
Stéphane Guy du galon
par François HALLOPÉ
(Photo A.P.R.H.)
Lise Février-Vincent et Stéphane Guy, lors de la dernière nuit du trot. Leur parcours professionnel va prendre prochainement une autre direction.
Lise Février-Vincent n'officiera plus sur Canal+ et moins souvent sur Equidia. Stéphane Guy, le rédacteur en chef de la Grande Course, va prendre la direction du département football de Canal+ et, dès lors, être moins présent sur les directs. Le micrococosme de la télé des courses prépare déjà sa rentrée.
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Galanterie s'impose, parlons de Lise Février-Vincent, la plus connue de nos journalistes hippiques, cheville ouvrière des premiers directs de France Courses - c'était en 1996 ! -, et devenue familière des téléspectateurs d'Equidia comme de Canal+.
Depuis fin juillet, Lise a mis un terme à ses interventions à Canal+, tout en levant le pied également sur Equidia, ne souhaitant garder qu'une collaboration régulière avec un quotidien hippique.
«Cela fait dix années que je fais ce métier, à la fois formidable mais aussi dévorant. J'ai toujours été passionnée par les chevaux et les courses : je vais le rester, mais je souhaite souffler et vivre différemment, car il est difficile de travailler pour deux employeurs en même temps. J'ai été heureuse de participer à l'aventure d'Equidia et de Canal+ et suis ravie que des milliers de gens puissent aujourd'hui suivre plus facilement, et dans de meilleures conditions, les courses à la télévision.»
Notre jeune consoeur - trente ans - ne souhaite pas s'incruster pour autant dans ce monde de la télé. «Je n'ai pas fait ce métier pour la gloriole et la célébrité. Aujourd'hui, j'aspire à mener une vie plus simple, à disposer de plus de temps pour moi et, surtout, à mettre en route un projet qui m'est cher.» Lequel ? «Un gîte d'étape équestre, avec un accueil spécialisé pour les handicapés et des personnes à mobilité réduite.» Depuis un bout de temps, Lise Février-Vincent avait à coeur de «trouver un équilibre personnel et professionnel, un travail prenant en compte le côté humain de la vie. La fille de ma meilleure amie est trisomique et on sait très bien que le contact avec les chevaux représente un moment privilégié pour ces handicapés.» Ce projet professionnel va en ce sens. Il devrait se réaliser dans le sud de la France, probablement dans les Alpes-Maritimes, «où il n'existe pas encore de structure de ce genre, malgré l'importance du tourisme».
Lise Février-Vincent compte bien garder le contact avec la profession : «J'irai encore aux courses et je vais continuer à animer quelques soirées, comme le Gala des courses, au galop comme au trot. Je me suis engagée à faire encore quelques directs sur Equidia d'ici la fin de l'année, et j'incite toutes les filles qui ont envie de faire de la télévision et qui sont passionnées par les courses à foncer, à oser se lancer. Il faut qu'il y ait un maximum de femmes sur Equidia comme sur Canal !».
Changement de lucarne
Stéphane Guy ne contradira pas Lise sur ce point, le rédacteur en chef de «La Grande Course» ayant toujours été favorable à la féminisation de son émission. Pour le journaliste de Canal+, il y a aussi un sérieux changement de décor puisque la direction de la chaîne cryptée vient de le nommer à la tête du département football. Quand on sait le «poids» de ce sport dans l'économie et la stratégie de Canal+, Stéphane Guy va avoir du pain sur la planche, endossant de lourdes et vastes responsabilités.
Dès lors, ce Normand, qui a appris à aimer les courses depuis trois ans et a su les valoriser sur l'antenne, disposera de peu de temps pour la partie «courses». Guillaume Covès, rédacteur en chef adjoint de l'émission, devrait être ainsi amené à monter en puissance dans le «coaching» de l'équipe, tandis qu'une remplaçante à Lise Février-Vincent reste à trouver. Des castings auront lieu dans les jours et semaines à venir. Sur le plan des directs, la place de Stéphane Guy devrait être occupée par Agathe Roussel, celle-ci ayant déjà eu l'occasion de remplir ce rôle à quelques occasions.
José Covès, homme de l'ombre pour le moment, pourrait être aussi amené à faire plus d'interventions à l'antenne. |
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| 12.08.05 - 13:58 |
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