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 pierre60610 |
 # 1 ≡ programme pour l'education et la formation tou au long de lavie |
Course A
104 posts depuis
le 22/8/2007
 |
vous etes pret à repondre à ce questionnaire?
qu'en pensez vous?
Projet réalisé dans le cadre d’un programme européen Leonardo Da Vinci
financé par la Commission Européenne
Partenaires ayant participé :
Réalisé dans le cadre d’un programme européen Leonardo Da Vinci
Financé par la Commission Européenne 0
QUESTIONNER
VOTRE TRAVAIL
AVEC L’ANIMAL
Réalisé dans le cadre d’un programme européen Leonardo Da Vinci
Financé par la Commission Européenne 1
LE TRAVAIL AVEC L’ANIMAL
Cet outil a pour objectif de vous interroger sur la relation que vous avez avec votre animal ou
votre troupeau et sur votre façon de travailler. Il se compose de 2 parties :
- une constituée de questions à choix multiples réparties sous 4
différents thèmes reprenant les principales composantes du
travail avec l’animal. Pour chaque question, il conviendra de
s’interroger sur le choix des réponses fait ;
- une reprenant les 4 différents thèmes abordés en y présentant
des résultats d’enquêtes ou d’études.
PARTIE 1
Thème 1 : Comment je me positionne par rapport à mon animal ou mon troupeau ?
Question 1
J’utilise ma voix (le plus souvent) :
- pour affirmer mon autorité (mon ton est ‘ferme’)
- pour prévenir mon animal ou mon troupeau quand j’arrive
- pour les calmer (mon ton est ‘doux’)
- rarement, voir jamais
Question 2
Pour faire obéir mes animaux, j’utilise un objet (bâton, piles électriques ou cravache
par exemples) :
- fréquemment
- régulièrement
- en dernier recours
- jamais
Question 3
Lors de certaines opérations (soins par exemple), j’utilise du matériel de contention
(couloir/cage de contention, chifnez,...) :
- systématiquement
- régulièrement
- dans des situations délicates
- jamais
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Question 4
Pour vous, pour travailler avec un animal, il faut avant tout :
- affirmer son autorité
- s’adapter à l’animal
- dresser l’animal
- habituer et éduquer l’animal
Thème 2 : Comment est-ce que je perçois mes animaux ? Quelle relation ai-je avec eux ?
Question 1
Est-ce que vous recherchez le contact direct (accolade, caresse, toucher) avec
l’animal ?
- le plus souvent possible
- uniquement lorsque c’est nécessaire
- le moins souvent possible
Question 2
Est-ce que votre animal, votre troupeau vous paraît stressé ou agressif ?
- rarement
- uniquement en situation particulière
(ex : grosse manipulation)
- de temps en temps suivant l’environnement
- assez régulièrement
Question 3
Quand je m’approche de mon animal, de mon troupeau :
- il s’éloigne de moi
- il reste indifférent à ma présence
- il vient vers moi
Question 4
Dans des situations nouvelles pour mon animal ou mon troupeau, j’arrive à obtenir
d’eux, ce que je veux :
- facilement et tout(e) seul(e)
- avec de l’aide
- avec beaucoup de difficultés, même aidé(e)
- pas du tout
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Question 5
Lors de l’arrivée de nouveaux animaux ou de jeunes animaux au sein de l’élevage :
- j’observe leur comportement
- je ne leur porte pas d’attention particulière
- je prends du temps pour nouer une relation directe avec eux
- je ‘délègue’ l’intégration du nouveau à sa mère ou à la meneuse/le
leader
- j’utilise ma relation avec la mère ou la meneuse/le leader pour établir
un contact
Question 6
A la fin d’une situation de travail, je récompense mon animal notamment à travers de
l’apport alimentaire :
- c’est inutile
- toujours
- occasionnellement
- rarement
Thème 3 : Comment est-ce que j’organise mon temps de travail ?
Question 1
Je prends du temps pour observer mon animal ou mon troupeau :
- tous les jours et plusieurs fois par jour : c’est indispensable
- au moins une fois par jour : c’est important
- accessoirement
- en fonction de l’activité
- rarement, voir jamais
Question 2
Je m’organise pour avoir du temps pour observer mes animaux :
- Oui
- Non
Mon temps d’observation quotidien ne dure que quelques minutes :
- Oui
- Non
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Le temps d’observation est :
- un moment à part entière
- Fait partie d’une étape de travail
(alimentation, curage du box,…)
Question 3
Passer du temps avec les animaux en dehors du soin et/ou de l’alimentation me paraît
plutôt :
- inutile
- Plus ou moins utile selon l’animal
- indispensable
- important
Question 4
Quand vous sentez que la situation va être difficile, vous arrive-t-il de reporter une
séance de travail/une manipulation :
- oui
- souvent
- cela dépend de ce qu’il me reste à faire
- jamais
Thème 4 : Comment est-ce que je gère la globalité de mon travail avec l’animal ?
Question 1
Avant d’intervenir sur mon animal ou mon troupeau, je prends en considération le lieu
où j’interviens et l’état dans lequel se trouvent les animaux.
- toujours
- souvent
- quand je le peux
- jamais
Question 2
J’ai conscience que chaque animal est différent et je tiens compte des individualités
et/ou des spécificités dans mes interventions.
- Toujours
- Occasionnellement
- Jamais
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Question 3
Quand je suis amené à utiliser des moyens de contention, c’est plutôt :
- Pour gagner du temps
- Pour limiter les risques
- Dans des situations particulières
- Pour permettre le toucher de l’animal
- Jamais
PARTIE 2
Thème 1 : Comment je me positionne par rapport à mon animal ou mon troupeau ?
Des études ont montré que l’attitude et le comportement d’un animal ou d’un troupeau peut
être corrélé à l’attitude et au positionnement de l’homme. Ainsi, si l’homme se positionne
plutôt dans une notion de dressage, qui fait appel à la soumission de l’animal à l’homme, les
interactions avec l’animal ne seront pas les mêmes que s’il se positionne dans une notion
d’éducation. Dans cette dernière, il est alors plutôt fait appel à la construction d’une relation
homme – animal en interaction.
Il ne faut pas oublier que la relation entre l’homme et l’animal se construit à travers un
ensemble d’interactions positives, neutres ou négatives. Plus les interactions négatives seront
importantes, plus la relation sera tendue et difficile.
La voix est un outil important de travail avec l’animal. Elle peut générer un état de stress
important ou au contraire apaiser les animaux suivant le ton employé et la tonalité employée.
Les voix graves, utilisées avec un ton calme, ont tendance à apaiser les animaux.
Que ce soit pour l’utilisation de la voix, d’objets ou encore de matériel de contention, il s’agit
avant tout de s’interroger sur leurs modalités d’utilisation (Pourquoi je l’utilise ? A quoi ça me
sert ? A quel moment ? ...) et sur les conséquences que cela a sur l’animal.
Thème 2 : Comment est-ce que je perçois mes animaux ? Quelle relation ai-je avec eux ?
Les contacts positifs des bovins ou des chevaux avec l’homme contribuent à diminuer leur
peur de ce dernier. Cependant, les recherches scientifiques tendent à démontrer que le
caractère apaisant des caresses est surtout pertinent pour les animaux habitués au toucher. Il
semble donc intéressant de développer des contacts en dehors des séances de manipulation ou
de travail de l’animal. Mais il convient de faire attention à ne pas aller dans l’excès qui
risquerait d’aboutir à l’effet inverse souhaité. Pour exemple, des études sur les chevaux ont
montré que les yearlings les moins familiers avaient été manipulés soit très intensément, soit
négligés.
D’autres part, l’association de la présence de l’homme ou de la manipulation avec un
renforcement positif (nourriture) constitue une association positive claire pour les animaux, ce
qui peut conduire à une diminution de l’impact négatif de la manipulation.
Un autre élément à prendre en considération est la capacité des animaux de distinguer les
humains qui les ont manipulés de façon douce de ceux qui les ont manipulés désagréablement.
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Ils apprennent rapidement à éviter le manipulateur agressif et à s’approcher du manipulateur
doux.
Les animaux sont toujours plus vigilants dans des situations nouvelles pour eux. La qualité de
votre relation avec vos animaux, ainsi que les moyens que vous pouvez mettre en oeuvre pour
gérer l’environnement, vont avoir une incidence directe sur leur comportement et leurs
réactions. Ainsi, il convient de s’interroger sur les moyens que vous mettez en place pour
gérer ces situations nouvelles.
De même, la question des moyens que je mets en place se pose lors de l’intégration d’un
nouvel animal : comment je mets en place la relation de confiance avec lui ? Pour les
chevaux, il a été démontré que les réactions de la mère à l’homme pouvaient être transmises à
son poulain : quand les mères sont calmes en présence de l’homme, leurs poulains sont plus
faciles à manipuler.
Thème 3 : Comment est-ce que j’organise mon temps de travail ?
Il a été démontré que la simple exposition à un humain immobile pouvait avoir des effets
bénéfiques.
Le temps d’observation est un moment privilégié pour nouer une interaction positive entre
l’homme et l’animal en dehors d’un conditionnement à l’alimentation.
Pour éviter que les animaux développent une peur de l’humain, il serait profitable
d’augmenter la quantité, la qualité et la durée des interactions positives.
Continuer son travail ou sa manipulation avec l’animal lors d’une situation difficile va le plus
souvent générer des interactions négatives et une réaction agressive de la part de l’animal qui
peut avoir des conséquences lourdes sur la relation avec l’homme ou sur l’homme lui-même.
Afin de limiter voir d’empêcher la dégradation d’une situation, il semble important de
disposer des outils d’analyse et de compréhension de la situation ainsi que des moyens de
pouvoir s’adapter (prévoir du temps en plus dans son organisation pour réaliser un travail dont
on suppose qu’il peut poser problème par exemple).
Thème 4 : Comment est-ce que je gère la globalité de mon travail avec l’animal ?
Lors du travail avec l’animal, avant toute intervention, il semble primordial de prendre en
considération l’ensemble des éléments qui composent l’environnement de l’animal, ce que je
souhaite réaliser, ce que je mets en place pour y arriver et ce qui peut venir interférer dans ce
travail.
L’utilisation des moyens de contention doit être réfléchie par rapport au travail mais aussi par
rapport à la construction de la relation homme – animal.
La prise en compte des spécificités de chaque animal peut faciliter le travail et peut permettre
de trouver des ‘leviers’ pour obtenir ce que l’on souhaite de l’animal ou du troupeau. Ainsi,
par exemple dans un troupeau de bovins, la connaissance de la hiérarchie et la reconnaissance
de la meneuse au sein du troupeau peut faciliter les déplacements de ce dernier.
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Partenaires ayant participé : |
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| 12.07.08 - 14:17 |
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|
| palstaan |
# 5 ≡ programme pour l'education et la formation tou au long de lavie |
Groupe I
1295 posts depuis
le 11/7/2008
De : Finistère
|
Et voilà... Pour notre quotidien avec nos chevaux... Toute ces réponses se résument en quelques phrases cléfs :
Prendre son temps c'est toujours en gagner...
La confiance des chevaux se méritent en ne les trahissant pas, notamment en ne leur faisant pas supporter nos humeurs.....
Il faut être leur réferent sans tomber dans le copinage et la mauvaise éducation.....
A nous le raisonnement à eux la force....
Bon j'arrête sinon je peux parler une vie entière...
PARTIE 1
Thème 1 : Comment je me positionne par rapport à mon animal ou mon troupeau ?
Question 1
J’utilise ma voix :
- pour affirmer mon autorité (mon ton est ‘ferme’)
- pour prévenir mon animal ou mon troupeau quand j’arrive
- pour les calmer (mon ton est ‘doux’)
Question 2
Pour faire obéir mes animaux, j’utilise un objet (bâton, piles électriques ou cravache
par exemples) :
- jamais
Question 3
Lors de certaines opérations (soins par exemple), j’utilise du matériel de contention
(couloir/cage de contention, chifnez,...) :
- jamais
Question 4
Pour vous, pour travailler avec un animal, il faut avant tout :
- affirmer son autorité
- s’adapter à l’animal
- dresser l’animal
- habituer et éduquer l’animal
Thème 2 : Comment est-ce que je perçois mes animaux ? Quelle relation ai-je avec eux ?
Question 1
Est-ce que vous recherchez le contact direct (accolade, caresse, toucher) avec
l’animal ?
- le plus souvent possible
- uniquement lorsque c’est nécessaire
- le moins souvent possible
Question 2
Est-ce que votre animal, votre troupeau vous paraît stressé ou agressif ?
- rarement
Question 3
Quand je m’approche de mon animal, de mon troupeau :
- il vient vers moi
Question 4
Dans des situations nouvelles pour mon animal ou mon troupeau, j’arrive à obtenir
d’eux, ce que je veux :
- facilement et tout(e) seul(e)
Question 5
Lors de l’arrivée de nouveaux animaux ou de jeunes animaux au sein de l’élevage :
- j’observe leur comportement
- je ‘délègue’ l’intégration du nouveau à un hongre spécifique-
j’utilise ma relation avec le leader pour établir
un contact
Question 6
A la fin d’une situation de travail, je récompense mon animal notamment à travers de
l’apport alimentaire :
- toujours
Thème 3 : Comment est-ce que j’organise mon temps de travail ?
Question 1
Je prends du temps pour observer mon animal ou mon troupeau :
- tous les jours et plusieurs fois par jour : c’est indispensable
Question 2
Je m’organise pour avoir du temps pour observer mes animaux :
- Oui
Mon temps d’observation quotidien ne dure que quelques minutes :
- Non
Le temps d’observation est :
- un moment à part entière
- Fait partie d’une étape de travail
(alimentation, curage du box,…)
Question 3
Passer du temps avec les animaux en dehors du soin et/ou de l’alimentation me paraît
plutôt :
- indispensable
Question 4
Quand vous sentez que la situation va être difficile, vous arrive-t-il de reporter une
séance de travail/une manipulation :
- cela dépend de ce qu’il me reste à faire, prendre son temps est indispensable pour en gagner ensuite
Thème 4 : Comment est-ce que je gère la globalité de mon travail avec l’animal ?
Question 1
Avant d’intervenir sur mon animal ou mon troupeau, je prends en considération le lieu
où j’interviens et l’état dans lequel se trouvent les animaux.
- toujours
Question 2
J’ai conscience que chaque animal est différent et je tiens compte des individualités
et/ou des spécificités dans mes interventions.
- Toujours
Question 3
Quand je suis amené à utiliser des moyens de contention, c’est plutôt :
- Jamais ,sauf dentiste ou véto qui tranquillisent si besoin |
|
| 13.07.08 - 19:52 |
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