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| Anonyme |
 # 3 ≡ Re: Les "boulettes" de la Société de Transport Hippique |
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ni aller à cheval sur l'hippodrome  |
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| 09.12.12 - 22:39 |
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 easytrot |
# 5 ≡ Re: Les "boulettes" de la Société de Transport Hippique |
Groupe I
1256 posts depuis
le 24/10/2011
De : France
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jodalco,
Ah, le cauchemard de tous les entraineurs : las avaries pendant le transport .. désolée pour vou s 
C'est quand même curieux, la plupart des assurances assurent un dépannage en moins de trente minutes, maximum une heure PAR CONTRAT. Il a du y avoir un mauvais concours de circonstances ... c'est étonnat de lapart d'un société en qui j'avais une entière confiance ; déjà leur matériel rutilant, propre et semblant neuf met le client dans de bonnes dispositions et leurs tarifs sont quand même pas donnés : cette année je les ai utilisés à plusieurs reprises our nos poulinières et, au bout du compte .. le transort m'a coûté le prix ... d'une BONNE saillie. Il est vrai que ce genre de galère peut arriver à tout le monde ; une fois nous étions partis de Bordeaux pour aller courrir à Biarritz, n'avosn JAMAIS atteint l'hippodrome et sommes revenus à la maison (avec le cheval) que le lendemain matin sur le coup de 9 heures, en remorquage après maintes galères.. on ne peut condamner d'emblé mais depuis .. j'ai pris une OPTION DEPANNAGE MATERIEL ET VOYAGEURS (y compris EQUINS) sur mon assurance matériel roulant.
Sur le fond, encore une fois, où sont donc passés les 'vieux' préceptes appliqués scrupuleusement quand le rendement et la rentabilité passaient (juste) après le bien-être et la mise en forme du cheval ; genre
- ''Désolé M'sieur, il avait fait sa course dans le camion "
ou ... en matière de voyage avant une épreuve ''sportive'' --et même si c'est une courses et pas un jumping ou une reprise de dressage, pour le cheval une course c'est du SPORT aussi, non ?  -- prévoir un temps de récupération ENTRE l'arrivée sur place te l'épreuve au moins EGALE au temps de transport. Cà c'était des données physio-bio. mises en évidence et préconisées par des vétérinaires ... mais çà pose peut-être problème de nos jours de payer des chauffeurs et des garçons de voyage pour regarder un cheval ''récupérer' et se reposer en ..se reposant.
Et puis, ces détails à ras la litière, c'est pas inclus dans le programme du CAPTAV, ni dans les directives Européenne sur le transport d'animaux vivants alors... bast !
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"OFF TO THE RACES"
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| 10.12.12 - 12:25 |
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| Pilux |
# 8 ≡ Re: Les "boulettes" de la Société de Transport Hippique |
Groupe I
1902 posts depuis
le 26/5/2010
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missjennifer2,
Citation :ben en meme temps, pour que sa nous soit arriver en rentrant de marseille,apparement les crick sont comme sa dans les camions de chevaux, et de plus je ne pense pas que beaucoup de monde aurait pris le risque de soulever un camion avec 2 chevaux dedans et se meme avec un crik poid lourd. l'option depanneur fu a mon humble avis la bonne
Oui, là enfin bon vu les explications de Jodalco la situation est toute autre.
Il s'agit en l'espèce, de faire appel aux services d'une entreprise spécialisée ...
Si chacun " fait ce qu'il veut " avec les transports qu'il assure lui même et avec son propre matériel ... ( ... )
Quant on fait appel à une entreprise on peut tout de même attendre un résultat.
En l'occurence demander le transport d'un cheval pour qu'il participe à une course, suppose que celui-çi puisse en prendre le départ !!!
... et donc que l'entreprise en question se dote de matériel et de personnel qualifié pour réaliser cette mission.
Le fait qu'il s'agisse d'un camion de 2 chevaux pourrait (si ce n'est pas le cas) amener ces entreprises à se doter de camion avec roues jumelées à l'arrière; ce qui permet soit de changer la roue extérieure sans difficultés ni déchager les chevaux quasi - quelque soit l'endroit, soit de parcourir quelques kilomètres et de stationner dans un endroit propice pour réaliser le changement de la roue intérieure.
... ça semblerait quand même un minimum pour une entreprise sérieuse.
>> En l'espèce il ne s'agit pas d'une discution de salon .... si ces entreprises se spécialisent dans ce genre de services, elles doivent prendre en compte ce genre de situation et les anticiper.
Une roue crevée, dans le transport c'est quand même pas une raison de force majeure. Il serait peut être intéressant de rappeler que certaines entreprises de transport travaillent avec la norme ISO9002.
C'est ce que l'on appelle le professionnalisme.
La responsabilité de l'entreprise peut (peut-être et en fonction des circonstances) être engagée ... y compris sur le point du manque à gagner ( du fait du non départ), (et des frais préparatoires inérants à l'activité entrainement ...)
Jodalco ... : sujet intéressant. |
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| 10.12.12 - 21:24 |
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Les "boulettes" de la Société de Transport Hippique
