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 platgalop |
 # 102 ≡ Re: Ecurie Wildenstein et le fisc : encore Woerth ? |
Course A
91 posts depuis
le 31/5/2010
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gaucholo,
Citation :Pour reprendre l'affaire Woerth, #proscrit_sur_CF# dans le JDG se ridiculise une nouvelle fois
Pourriez vous nous diffuser l'article JDG non accessible, afin de pouvoir juger sur pièces, cela dit j'aurais tendance à vous faire confiance surtout si c'est un journal de France Galop ou du PMU ou sponsorisés par eux, cela parait logique de défendre .... l'indéfendable EW au lourd passé dans la fiscalité, les paradis fiscaux, le financement du RPR puis de l'UMP, avant de devenir ministre du budget et de traquer les fraudeurs fiscaux, cela ne s'invente pas, plus c'est gros plus ça passe, et peut être aussi sur quelques détails hippiques, EW a le mérite de faire avancer des dossiers, mais dans quelles conditions ? beaucoup de coincidences troublantes, d'amis bien traités |
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| 27.07.10 - 13:13 |
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| jeandangely |
# 105 ≡ Re: Ecurie Wildenstein et le fisc : encore Woerth ? |
Groupe I
1169 posts depuis
le 3/5/2008
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gaucholo,
Citation :Jeandangely, il suffit de reprendre le titre du post , personnellement j'aime les chevaux, j'aime la beauté des courses, j'adore étudier les croisements mais je sais très bien à quoi correspondent les valeurs de la plupart des propriétaires au galop, valeurs liées à l'argent , à la mondialisation (n'est pas altesse, cheikh ou sultan voir ministre(!) qui veut) qui ont d'ailleurs complétement fourvoyé ce noble sport ... ces valeurs ne sont en tous cas pas les miennes et d'ailleurs je n'aurais jamais la capacité financière de posséder des chevaux de course, peut-être que ce n'est pas si mal ...
Enfin on s'éloigne du sujet non ?
Le problème c'est que tu fais une généralité de 5 personnes ( ceux que tu cites apportent énormement aux courses (aga khan) et surtout perdent beaucoup d'argent) au galop il existe très peu de propriétaire bénéficitaires.
Pour reprendre un autre débat les courses vivent sur un équilibre en propriétaire et turfistes, mais à en entendre certains on a l'impréssion que le turfiste est obligé de jouer, or personne ne le contraint à jouer. |
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| 27.07.10 - 13:20 |
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| jeandangely |
# 108 ≡ Re: Ecurie Wildenstein et le fisc : encore Woerth ? |
Groupe I
1169 posts depuis
le 3/5/2008
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L'édito de M Caire:
Dans l’affaire Bettencourt, l’odeur du sang a excité nos confrères
journalistes. La chasse au scoop s’est transformée en chasse à
l’homme. La presse voulait des coupables et elle a choisi ses
cibles, épargnant largement François-Marie Banier et s’acharnant
sur Éric Woerth. On a lu et entendu des fariboles, surtout sur le
sujet que nous connaissons – les courses.
Dans leur édition papier ou sur Internet, Le Monde et L’Express
ont par exemple multiplié les amalgames avec une facilité telle
qu’ils ont durablement abîmé la confiance que j’avais en eux. Plus
jamais je ne me fierai aveuglément aux articles de ces deux titres,
qui passent pourtant pour
des références dans la presse
française.
À l’inverse, certains journaux
ont mené l’enquête avant
d’écrire "n’importe quoi".
Ainsi, la semaine dernière,
un journaliste de Paris-Match
m’a appelé pour me demander
si Éric Woerth était
mouillé dans la vente de
l’hippodrome de Compiègne
et si l’écurie Dam’s pouvait
être considérée comme une franc-maçonnerie des courses au
féminin. J’ai, dans la limite de ce que je sais sur ces deux sujets,
répondu “non” aux deux questions et j’ai pu constater, dans la
dernière édition de "Match", que ni Compiègne ni Dam’s n’étaient
au sommaire de l’hebdomadaire.
Évidemment, nous sommes bien placés pour savoir que les
courses, c’est aussi beaucoup d’autres choses – à commencer par
des hommes et des femmes qui se donnent un mal de chien et
font mille sacrifices pour faire naître, élever, entraîner, monter,
posséder, etc., des chevaux de course ! Mais qui leur dira, à ces
journalistes généralistes, que les courses valent mieux que ce
qu’ils en ont écrit ? Qui leur expliquera, par exemple, que les écuries
de groupe ne sont pas une invention d’Éric Woerth pour faire
des cadeaux fiscaux à ses amis mais qu’au contraire, une écurie
de groupe peut être un truc de “petits” propriétaires qui ont envie
de se faire plaisir entre amis à moindre coût ?
Finalement, ce qui me met le plus mal à l’aise dans l’affaire
Bettencourt, c’est ce que j’appelerais le “syndrome Mark
Chapman”, du nom de l’inconnu qui avait accédé à une triste célébrité
en assassinant John Lennon. Aujourd’hui, j’ai un peu l’impression
que certains Français (et pas seulement des journalistes,
maintenant qu’Internet transforme un blog en média) sont
atteints du syndrome Mark Chapman. Ils veulent leur part de célébrité
et, pour y arriver, passent leurs journées à mordre les flancs
des poissons plus gros qu’eux – ces “plus célèbres qu’eux”, “plus
riches qu’eux”, “plus intelligents qu’eux”, plus beaux qu’eux”, etc.
Ces “mieux qu’eux” auxquels ils n’arrivent pas à ressembler, et
qu’ils jalousent donc, jusqu’à les détester, entretenant un climat
délétère dans l’ensemble de la société française. Ce n’est pas ça,
le journalisme – qu’il soit hippique ou pas.
Il n'a pas totalement tort. |
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| 27.07.10 - 13:28 |
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| gaucholo |
# 109 ≡ Re: Ecurie Wildenstein et le fisc : encore Woerth ? |
Listed-Race
260 posts depuis
le 20/3/2002
De : Touraine
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L’ÉDITORIAL Mardi 27 juillet 2010 / 2
chasse aux scoops
et chasse à L’ homme
Par #proscrit_sur_CF#
Dans l’affaire Bettencourt, l’odeur du sang a excité nos confrères journalistes. La chasse au scoop s’est transformée en chasse à l’homme. La presse voulait des coupables et elle a choisi ses cibles, épargnant largement François-Marie Banier et s’acharnant
sur Éric Woerth. On a lu et entendu des fariboles, surtout sur le sujet que nous connaissons – les courses.
Dans leur édition papier ou sur Internet, Le Monde et L’Express ont par exemple multiplié les amalgames avec une facilité telle
qu’ils ont durablement abîmé la confiance que j’avais en eux. Plus jamais je ne me fierai aveuglément aux articles de ces deux titres, qui passent pourtant pour des références dans la presse française .
À l’inverse, certains journaux ont mené l’enquête avant d’écrire "n’importe quoi".
Ainsi, la semaine dernière, un journaliste de Paris-Match m’a appelé pour me deman- der si Éric Woerth était mouillé dans la vente de l’hippodrome de Compiègne et si l’écurie Dam’s pouvait être considérée comme une franc-maçonnerie des courses au féminin. J’ai, dans la limite de ce que je sais sur ces deux sujets, répondu “non” aux deux questions et j’ai pu constater, dans la dernière édition de "Match", que ni Compiègne ni Dam’s n’étaient au sommaire de l’hebdomadaire.
Évidemment, nous sommes bien placés pour savoir que les courses, c’est aussi beaucoup d’autres choses – à commencer par des hommes et des femmes qui se donnent un mal de chien et ont mille sacrifices pour faire naître, élever, entraîner, monter,
posséder, etc., des chevaux de course ! Mais qui leur dira, à ces journalistes généralistes, que les courses valent mieux que ce
qu’ils en ont écrit ? Qui leur expliquera, par exemple, que les écuries de groupe ne sont pas une invention d’Éric Woerth pour faire des cadeaux fiscaux à ses amis mais qu’au contraire, une écurie de groupe peut être un truc de “petits” propriétaires qui ont envie de se faire plaisir entre amis à moindre coût ?
Finalement, ce qui me met le plus mal à l’aise dans l’affaire Bettencourt, c’est ce que j’appelerais le “syndrome Mark
Chapman”, du nom de l’inconnu qui avait accédé à une triste célébrité en assassinant John Lennon. Aujourd’hui, j’ai un peu l’im-
pression que certains Français (et pas seulement des journalistes, maintenant qu’Internet transforme un blog en média) sont atteints du syndrome Mark Chapman. Ils veulent leur part de célébrité et, pour y arriver, passent leurs journées à mordre les flancs des poissons plus gros qu’eux – ces “plus célèbres qu’eux”, “plus riches qu’eux”, “plus intelligents qu’eux”, plus beaux qu’eux”, etc. Ces “mieux qu’eux” auxquels ils n’arrivent pas à ressembler, et qu’ils jalousent donc, jusqu’à les détester, entretenant un climat délétère dans l’ensemble de la société française. Ce n’est pas ça, le journalisme – qu’il soit hippique ou pas.
P.S. personnel : la fin est d'après moi méprisante pour le simple quidam ... sale milieu |
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| 27.07.10 - 13:32 |
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