# 31 ≡ Re: De la culture des salades à lélevage des chevaux
Groupe I
1256 posts depuis le 24/10/2011 De : France
Mince Fakir ! seriez-vous en train de glisser (dangereusement !!) sur les mêmes longueurs d'ondes que moi ??? mais ce serait un très mauvais symptôme (pour vous ! enfin je le crains ) Ce serait pas la chaleur par hasard, qui brouille les ondes là ? Vous avez peut-être des potes qui vous l'ont déjà dit ? .. après cette grosse vanne de ma part (seule 'pause rire' de la jopurnée pour l'instant...) une seule issue :
------------------------------- "OFF TO THE RACES" -------------------------------
# 32 ≡ Re: De la culture des salades à lélevage des chevaux
Groupe I
1581 posts depuis le 20/2/2007 De : La Vienne (86)
Citation :
les gens qui ont "fait" le BLUP disent que la génétique intervient pour 27% dans le devenir d'un cheval (le pendant Irlandais donne un peu plus 30%) il reste donc 70% pour l'elevage, soin, entrainement ou exploitation du cheval.
Je suis très surpris que ces résultats ne vous interpellent pas plus, vu le prix des bonnes saillies ! Ce qui veut dire qu'aujourd'hui, avec tout ce que connaissent les éleveurs, il y ait encore autant de "déchets".
Un étalon ayant 40 juments par ans, donne environ une dizaine de bons poulains avec performances à 3 ans.
Pourquoi pas les autres ? car, hors accidents et troubles graves de santé, le score semble assez faible. Il reste encore à améliorer les autres. Les techniques d'élevage aujourd'hui, sont globalement considérées comme bonnes. Mais sont-elle totalement bonnes ? N'existe-il pas encore des zones d'ombres à explorer ? Il faudrait donc s'intéresser à de nouvelles investigations sur les moyens propres à rendre la génétique plus performante. Idéalement, elle devrait répondre à 80%. Nous savons déjà que se sont les mêmes juments qui donnent les bons chevaux. Donc certaines disposent soit d'une vitalité, d'une santé, d'une physiologie ou d'autre chose dont profitent leurs poulains.
En définitive, le champion est le plus résistant de ses congénères.
Platon : Blog: Les petits éleveurs de PS Site collection équestre : www.psreditions.com "Le bruit ne fait pas de bien ; le bien, pas de bruit."
# 37 ≡ Re: De la culture des salades à lélevage des chevaux
Groupe I
1902 posts depuis le 26/5/2010
Même avec 30% d'influence génétique sur la perf, ... c'est malgré tout le facteur le plus important ( et le plus " facilement maitrisable "). Ce même pourcentage est variable en fonction des races et de leur niveau de sélection.
# 38 ≡ Re: De la culture des salades à lélevage des chevaux
Groupe I
1581 posts depuis le 20/2/2007 De : La Vienne (86)
fakir : Citation :
Dans le choix de croisement, dans l'élevage et là il y a des erreurs à faire à foison qui compromettront l'avenir du poulaion, dans le débourrage, dans l'entrainement, mais aussi dans le quotidien avec la responsabilité des lads et de ceux qui s'occupent des chevaux soit de manière professionnelle ou de manière j'e m'en foutiste avec tous ce que cela peut comporter. N'importe comment si il y a un jour une course de chevaux parfaits sur tous les plans .... il y aura un vainqueur et un dernier.
Le plus constructif est de chercher les secteurs d'influence non soupçonnés et d'y apporter des modifications. C'est ainsi que depuis 1830, l'élevage du PS à évolué et que les performances allaient de paire avec l'innovation.
Platon : Blog: Les petits éleveurs de PS Site collection équestre : www.psreditions.com "Le bruit ne fait pas de bien ; le bien, pas de bruit."
Vous ne pouvez pas créer un sujet. Vous ne pouvez pas éditer les sujets. Vous ne pouvez pas ajouter des sondages. Vous ne pouvez pas attacher des fichiers. Vous ne pouvez pas répondre aux sujets. Vous ne pouvez pas supprimer. Vous ne pouvez pas voter.
Rendez-vous sur C-F.fr
courses-france.com reste en ligne en tant qu'archive mais n'est plus en service.
De la culture des salades à lélevage des chevaux
mais ce serait un très mauvais symptôme (pour vous ! enfin je le crains ) 
Ce serait pas la chaleur par hasard, qui brouille les ondes là ? 
