Les courses à réclamer maintenant sont plus une préocupation pour faire courrir et éventuellement amenner de l'argent plus ou moins facilement sur le compte "propriétaire". Dans le cas de gains importants ou le cheval porterait trop de poids certains entraineurs n'hésitent plus à faire courir "à réclamer" Pour d'autres "le réclamer" permet soi de garder le cheval en état de forme ou de viser une course de catégorie supérieure dans un délai plus ou moins raproché.
Le risque de perdre un cheval est minime de toute façon le cheval est défendu par son propriétaire même s'il faut y laisser une partie des gains de ce prix.
Nous ne sommes plus dans les mêmes cas de figure que préconisait le Code des Courses il y a quelques années ou tout cheval ne pouvant pas gagner dans une catégorie supérieure était vendu à réclamer et convenait bien dans de petits champs de courses Depuis le fin de la règle Paris-Province ou les chevaux Parisiens courait que sur les hippodrome des sociétés affiliés à la Société d'Encourgement les règles ont été modifiées par les acteurs. France Galop ne se préocupe pas de cet état de fait ou de bons chevaux courent avec des chevaux peu talentueux à réclamer.
Pour le jugement "péromptoire" ceci est pour moi un mauvais jugement, une mauvaise approche de l'entrainement des chevaux ou un manque de connaissances des chevaux et des hommes. Le jugement pour un entraineur sur un cheval ou un jockey ne doit pas être définitif ni sans réelles données, j'irais même à dire que souvent lors des courses on est surprs par certains chevaux en bien ou en mal. Il suffit d'entendre certains propos juste après l'arrivée pour connaitre l'état d'esprit de certains entraineurs et de leurs analyses de la course pour mieux appréhender ce fait du jugement avant course...
1581 posts depuis le 20/2/2007 De : La Vienne (86)
Vos réponses me rassurent un peu sur vos positions.
Pour vous éclairez, sachez que monsieur Pollet regardait le "lacher" des yearlings et dans les ébats de ceux ci, il faisait son choix au haras. Il n'avait que 15 boxes remplis par des yearlings (pas par des chevaux triés après essais). Le tri, il savait le faire au haras. Le talent de ce grand monsieur était dû à sa réflexion et sa connaissance des chevaux athlètes. Il venait du milieu de l'industrie textile du nord et n'avait pas appris de "ragots" dans les écuries.
Nous savons tous que les chevaux et les courses ont un peu changé, mais nous savons également qu'un athlète surpasse toujours ses congénères. Nous savons aussi que tout le monde recherche cet athlète. Le fait qu'il quitte une écurie à l'issue d'une course à réclamer (engagement volontaire) pour finir en Listed ou Groupe ailleurs, se révèle être une erreur de jugement, jusqu'à preuve du contraire.
"Pour le jugement "péromptoire" (péremptoire) ceci est pour moi un mauvais jugement". Dites-vous. Péremptoire ou pas, un jugement est BON ou MAUVAIS. Si vous hésitez, émettez une réserve. Si non, agissez en conformité avec vos connaissances dans une alternative binaire : oui ou non.
Ce sont les connaissances de l'homme qui donnent la qualité du jugement.
Platon : Blog: Les petits éleveurs de PS Site collection équestre : www.psreditions.com "Le bruit ne fait pas de bien ; le bien, pas de bruit."
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