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 # 1 ≡ Eleveurs, sociopros en général : continuons de réagir et de proposer |
Course C
2 posts depuis
le 20/3/2015
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Je suis un petit éleveur propriétaire depuis 25 ans en fin d'activité, car nous sommes de plus en plus nombreux à trouver le temps long, la crise de la filière hippique s'étend, notamment (surtout ?) au galop, la fracture entre la base et le sommet n'ayant jamais été aussi voyante, sauf exceptions pour ceux tombant sur un bon cheval, le rêve existant parfois encore. Pourtant nos décideurs peinent à réagir, voire prennent de mauvaises décisions, et malheureusement la crise n'a pas encore atteint son apogée. Les ministères de tutelle commencent à agir. Espérons que les allocations ne se réduiront pas encore pour combler les erreurs passées et à venir (Nouveau Longchamp, etc.).
A nous d'essayer de continuer à réagir et proposer des idées nouvelles, en espérant que quelques unes puissent être étudiées, voire mises en place. Mais il faudrait que cela soit mieux fédéré et organisé (groupe de travail de volontaires ? site Internet dédié ? autres ?).
Certaines propositions figurent dans l'historique ci dessous (non citées *) issues des réflexions d'une vingtaine de sociopros de l'Ouest, du Sud-Ouest et de l'Ile de France (qui se reconnaitront, merci à vous), que nous essayé de relayer à quelques uns depuis 2007, voire 2003. Nous faisons partie de ceux pensant qu'il faut (aussi) reconsolider la base de la pyramide.
* création d'un musée des courses, par exemple au troisième étage tribune Auteuil, d'une "AFP" hippique (AFH), de standards de langage pour avis entraineurs, disponibles sur "AFH" ou dans Journaux et sites hippiques (Quintés d'abord : mon cheval Très Bien (ou Au Top), Bien, Moyen (un peu juste, à revoir), etc.
'Historique' :
- demande d'un grenelle du monde hippique fin 2007 dans un article du Paris-Turf
- candidat aux élections du syndicat des éleveurs en 2011 puis en ce 22 mars 2015 (Hubert Harivel, non pour être élu, pas de chance, mais pour faire état des difficultés des sociopros de la base, etc.)
en vain, peu de choses ont évolué dans le bon sens depuis 4 ans, 8ans, 10 ans ....
Pour ces élections syndicat des éleveurs, voici mes professions de foi et réponses aux 3 questions du JDG (réponses 2015 non publiées par le JDG, écrites il y a 3 semaines, mais envoyées au JDG après le délai fixé au 14 mars minuit. Diffusées aux 42 autres candidats ce 19 mars). Désolé pour la longueur, voir surtout les 2 professions de foi et les quelques propositions en réponse à la question 2 du JDG 2015.
A. Profession de foi 2015
HH Manche « Eleveur depuis 1988, arrêt saillies 2012. Si non éleveur vendeur à Deauville ou sans bonne souche d’obstacle, que faire de 80 % des poulains ? Les laisser au pré, les vendre une misère, ou devenir propriétaire quand on peut, quitte à se ruiner. Moins de partants etc., le trot assure(ra) plus encore le CA déclinant du PMU. Merci aussi TVA. Nos alertes depuis 10 ans, idées pour la base élevage, propriétariat, entrainement, vaines. A quoi servent associations et syndicats ? A rien tant qu’élus / sociopro ne se ‘révoltent’ pas. La société mère fait ce qu’elle veut de l’obole versée au galop par l’état, autiste à notre crise. Et de pseudos élections à France Galop fin 2015 ! Aux actuels et futurs élus du syndicat d’exiger des comptes.»
B. Réponses aux 3 questions de Jour de Galop 2015
Question 1/ Pourquoi avez-vous décidé d’être candidat au Comité du Syndicat des Eleveurs? Quelle est votre motivation? Quel est le sens de votre candidature?
Pas pour être élu mais pour redire, en tant qu’ex petit éleveur SF, AQPS, PS, AA et AC :
1. Qu’il y a une crise non vue ou ignorée, générale, de nombreux éleveurs, et propriétaires, entraineurs, turfistes (cf. Blog Actualités de l’ANT) arrêtent ;
2. Que cela n’interpelle pas les ‘technocrates’ nous dirigeant …, allocations et primes en baisse, mais frais, taxes et dépenses incontrôlées s’envolent, marketing et COM désastreux, et le nouveau Longchamp (200 M€ pour un Week-End/an), sera la vitrine de cette ‘affairisme’. Les sociopros ont ce qui reste, 250 M€, moins ceci, cela …. Où passe l’argent ? Que fait l’Etat ?
3. Que les grandes décisions ne sont pas prises par des élus, déni de démocratie.
OK avec Mr Ferrand, Mr P. Barbe, Mme de Montaigu, etc.
Le syndicat fait ce qu’il peut, mais il faut exiger des comptes, reconstituer la base de la filière, moins de spéculation, d’élitisme, fracture hippique, le (supposé) bon vaut très cher, le reste pas grand-chose ou rien. Pourtant, la qualité théorique baisse : Combien de cracks issus des ventes de sélection ? Combien de nos gagnants de Groupe 1 sont de bons étalons ? de juments Black Type de bonnes poulinières ? Alors que des Kendargent produisent, des Cirrus, etc. sortent de nulle part.
Des éleveurs demandent à recevoir davantage de mails sur les travaux du syndicat.
Des sociopros trouvent ces élections trop discrètes, voire suspectes (ce qui est faux), car liste et professions de foi des candidats invisibles pour les non membres. Le JDG ne pourrait-il pas les diffuser comme en 2011 ? Elles méritent d’être exposées, tous les candidats ayant fait des efforts.
Question 2/ Si vous êtes élu, quelle sera la première proposition que vous soumettrez au vote du Comité du Syndicat?
Plus concerné, ne pas voter pour moi, écrits de 2011 (mesure 1 : Grève des Quintés …), 2007, etc. vains dont courrier des lecteurs Paris-Turf 09/11/2007 pour un « Grenelle du monde hippique ». Donc pas une mais plusieurs mesures simultanées.
Que devient une entreprise ne modernisant pas son produit phare, vieillot, ne consacrant pas x % de son CA en R&D, innovation, etc. ? CA du PMU en baisse à 9,2Md€, un pour l’Etat, PMU 600M€, sociétés mères 400M€, le solde 500M€ pour gens du Galop et Trot (principaux employeurs de la filière). Outre la fuite des turfistes à entendre, recréer et pérenniser la base éleveurs, propriétaires et (pré) entraineurs. Exemples à étudier :
1. Offrir débouchés à 80 % des Poulains, non vendus Arqana, ni meilleures souches obstacle. Pouvoir les essayer (voire plus, insister cf. Jémy Baie, etc.). Contribuer aux pensions (débourrage, pré ou/et entrainement) à hauteur de 300 € HT/mois sur 6 mois, pour tous produits FR, dont saillie inférieure à 5K€, ou vendus moins de 15K€, limité à 5/an par propriétaire. Coûts/an si 3000 produits : 5,4M€ pris sur les 450 M€ de réserves (par an = prix Arc 5 M€ = pertes Gény courses, PMH -15M€, GTHP 700 personnes, frais FG + 35M€ / à SECF, dont 0,7M€ FRBC Cheltenham 2015 ?, coût Equidia > 35M€, Film Turf, etc.).
2. Créer courses de 3ieme Division (3D) en province, nominaux 3000 € sans primes, pour chevaux précités n’ayant pas gagné une course 3D (1ère Division 1D: Groupes, Listed, Quintés, 2ième Division 2D, autres courses actuelles). Coûts/an si 1500 courses : 4,5 M€ (cf. réserves). Total 10M€ d’investissements
3. Etalons en France: Exonération fiscale des revenus de saillies, 30 % année 1, 20 % année 2, 10 % année 3, voire % gains produits quand saillie = ou < 3000 € ? (les 21 % actuels pas clairs). Coût ? cf. Bercy. Avantages 1 à 3: meilleur sort pour chevaux, moins de pertes sèches (on réinvestirait), emplois, partants pour 2D et 1D, plus de saillies, TVA pour Etat, recettes PMU, un cercle vertueux ?
4. Juments : des conseils de carrière sur poulinières, de croisement, un parrain pour jeunes / nouveaux éleveurs. OK avec Mr Amoros, etc.
5. Ventes aux enchères: Remboursement 100% frais d’inscription si produits vendus ou rachetés - de 1500€, 50 % si - de 2500€. Arqana Août : limiter nombre de yearlings étrangers.
6. Centres d’Entrainement (CE): Liste à jour sur Internet des conditions et frais de chaque CE, des élevages proches des CE, pouvant recevoir chevaux au repos, de transports abordables disponibles, et d’agents d’éleveurs ou propriétaires pouvant voir les produits à l’entrainement (quand non disponibles ou éloignés des centres).
7. Entraineurs et PE : Fermer des courses aux entraineurs n’ayant pas gagné 10, 20 et 30 courses dans l’année, à des Permis d’Entrainer (dans ce cas, nominaux 3000 €). Courses pour entraineurs depuis moins de 10 ans. Conditions et tarifs des entraineurs sur un site Internet. Accorder davantage de licences, en limitant nombre de chevaux l’année une, probatoire.
8. « Spectacle » des courses : Hippodromes parisiens, ennui à mourir, pas d’ambiance, public arnaqué (coca 25 ml 3,90€), sono TV coupée ou mauvaise, sortie chevaux trop tardive, pas le temps de jouer et pas de Wifi, escalators HS, etc., vaut mieux allez au casino. Rediffusions courses la nuit, après 20ième diffusion du même reportage, et payantes sur le net ! etc. Outre programme à revoir (B, D, E, F, G…) et valoriser belles courses (Prix Darshan, préparatoire Dubaï Sheema Classic courue un mardi à 13h20 !), Province, puis Paris, innover en créant de nouvelles courses (200, nominaux de 2 à 6000 €, coût 0,8 M€) : de ‘SF’ au trot monté et en cross, d’AA plat 6 ans et +, d’AA plat 4 et 5 km, d’AR sur 5, 7 et 10 km, de bumpers, de claies, de chevaux ayant été arrêtés plus d’un an, comme 6 ans et + obstacles (n’ayant rien gagné depuis année n-1, dont 4 à Auteuil nominaux supérieurs), etc. Filmer courses par drones.
9. Intéresser nouvelle clientèle : Ouvrir plus de courses aux femmes jockeys, cavalières. Créer courses plat, chevaux de 5 ans et +, ou AQPS, AC, AA, SF à des cavalier(e)s d’entrainement et de clubs hippiques.
10. Courses de pays, retraite : Créer une vraie Fédération Nationale des Courses de Pays, organisée par région, co-financer courses pour que des chevaux puissent continuer de courir avec des jeunes ou amateurs, après les poneys. Besoin d’un site Internet synthétisant les organismes et particuliers pouvant prendre des chevaux en retraite.
Question 3/ Les encouragements ont évolué au cours des dernières années (deux taux seulement pour la prime propriétaire, un pour les 2, 3, 4 ans, un pour les 5 ans et plus, et une baisse des primes aux « FR » assimilés). Doivent-ils à nouveau évoluer dans un sens ou dans un autre ? et si votre réponse est oui, quelle évolution proposeriez-vous ?
Status quo. OK avec Mr de Lageneste, etc.. Garder ce consensus et l’enveloppe, y compris pour ‘vieux chevaux’ de 5 ans et + (les éleveurs contre, peuvent toujours redonner leurs primes sur la base du volontariat). Idem quand allocations, donc primes continueront de chuter, si pas de ‘révolte’ (le CA du PMU n’a pas fini de baisser). Car déjà, scandaleux que 10 % de la prime propriétaire, donc des % de celle éleveur aussi, aient été ponctionnés sur notre dos, encore, en période de gabegie. Elle serait rendue si peu de chevaux français gagnent les bonnes courses. Espérons que les 3 premiers de tous les Gr I (Jockeys Club, Diane, …) soient étrangers ! Et que les déficits ne se creusent pas, mais vu que le nouveau Longchamp va sauver la filière !!! Qui peut croire ce mensonge ?
Suite aux nouvelles primes plat pour les non conçus FR, le départ de grands haras et éleveurs faisant saillir à l’étranger (buts premiers : ventes ou potentiels pour courir Groupes et élevage) est surprenant, baisse de 30 % (le bon sens paysan aurait dit 50 %). Car elle est compensable autrement, comme courir 2 ou 3 courses de plus dans une carrière. Et pourquoi ne pas aligner les primes à l’étranger comme en obstacles, 45 K€ / an au lieu de 15K€ ? Mais plus graves encore sont les inégalités fiscales (non imposables, TVA ou non, etc.).
Que l’on soit petit ou grand éleveur, artisanal ou professionnel, il y a deux options : soit consolider la base, soit continuer de réduire le nombre de partants en éliminant chevaux et sociopros, la part du gâteau sera plus importante pour les restants, mais le risque est que le gâteau devienne petit, amplifié par le désintérêt du galop par les turfistes, au profit du Trot.
C. Profession de foi 2011
HH – Manche : Petit éleveur propriétaire d’AQPS, PS, AA, AC et SF depuis plus de 20 ans en fin d’activité, j’exprime les grandes inquiétudes d’une quinzaine de petits éleveurs résolus à ne plus faire saillir, saillies trop élevées, débouchés inexistants, seul le haut de gamme, les ventes aux enchères, propriétaires d’étalons et intermédiaires se portent bien. Le processus élevage / courses / réforme dysfonctionne, ne parlons pas des chevaux de sport. Pour des états généraux ou un Grenelle du monde hippique sur la situation désastreuse de la base de la filière. Dans l’attente, audit demandé aux futurs élus pour des réponses concrètes rapides, comme création de débouchés nouveaux (courses pour « recycler » chevaux, bumpers, pour AA 50 % plat 6 ans et +, etc.), réduction du train de vie PMU et autres, 1 % du CA des enjeux en plus, % étalons sur gains produits si prix saillie réduit, etc.
D. Réponses aux 3 questions de Jour de Galop 2011
Question 1/ Pourquoi avez-vous décidé d’être candidat au Comité du Syndicat des Eleveurs? Quelle est votre motivation? Quel est le sens de votre candidature?
Tous d’abord, merci au JDG. Ingénieur avec expérience internationale (Bruxelles), éleveur propriétaire avec sol, je suis candidat :
a) pour exprimer le désarroi et l’exaspération de petits éleveurs, la crise existe et empire malgré les discours officiels. Le monde a changé, pourtant la filière courses réagit lentement. Nombre des 75 000 acteurs hippiques (sur)vivent de la générosité de personnes fortunées ou non et de l’obole de 5 % du CA du PMU 10 MdE, Merci aux parieurs (PMU 6 % avec profits ; j’ai réagi lors de l’AG du syndicat ce 8/2/11 à France Galop). Pire, 12 % pour un Etat se désengageant alors que même l’Irlande agit : http://www.equivista.fr/irlande-subvention-de-425-millions-d-euros-pour-la-filiere-du-cheval-actualite-3941.html
b) pour proposer quelques idées, redemander un « Grenelle du monde hippique » (voir mon courrier des lecteurs Paris-Turf 9/11/2007) : pourquoi n’a-t-on rien vu venir ni agi ? En toute connaissance de cause ? A ce stade, il ne peut y avoir d’unité, intérêts divergents (ventes, étalons / base). Réunification après élection oui, si un projet fédérateur se dégage.
Question 2/ Si vous êtes élu, quelle sera la première proposition que vous soumettrez au vote du Comité du Syndicat?
Aucune chance d’être élu. Grève des Quintés ou AUDIT sur l’état des lieux du Galop (Enquête auprès de tous les éleveurs, y compris non syndiqués. Etudes : concurrence étrangère, légalité, rentabilité yearlings d’août, disparition acheteurs ‘FR’, primes assimilés, modèle bizness étalons (Califet Oui), qualité production des Groupes I, amélioration de la race, surproduction ou non, filière AA 50 % en chute aucun marché, achats PS plat Haras Nationaux, chevaux loués rendus cassés ou morts, mauvaise image éleveurs courses, instabilité risques sur fonds Moyen-Orient, erreurs du passé et actuelles, etc.), audit sur la filière en général, se poser les bonnes questions pour fixer objectifs futurs (produire ‘FR’ mieux et moins cher, augmenter nos débouchés, pérenniser la base pour le long terme, etc.), avec force de propositions concrètes vers décideurs et politiques (donner des moyens décents, économiser sur les abus). Si refus, blocage. Pour cela, s’ouvrir aux autres éleveurs (Trot, sport), exploiter l’existant : http://www.haras-nationaux.fr/particuliers/sinformer/statistiques-et-economie.html (voir chiffres-clés 2010, journée REFErences). Autres : par envoi aux éleveurs ayant email.
Question 3/ Comment voyez vous l'évolution des primes dans les années à venir ?
Stable voire positive à condition de supprimer les primes aux assimilés, et de créer un % (10, 20, 30 ?) aux étalons ‘FR’ (monte en France) sur gains de leurs produits (% augmenté si prix de saillie raisonnable). Quelques bonnes juments et étalons resteront chez nous. Soutenir le développement des courses et élevages des pays frontaliers (via le PMU en partie), d’où création de nouveaux débouchés, moins de chevaux étrangers dans nos courses, car pour toucher primes, il faut pouvoir faire courir ses élèves, ce n’est pas le cas de beaucoup. A court terme, créer débouchés : courses test, réforme, vente. L’élevage de sport est sinistré : http://www.sellefrancais.fr/communique-de-presse-de-l-ansf-du-14-janvier-2011-actualite-433.html, un bien pour mieux recycler nos chevaux en fin de carrière ? ou un signal d’alerte pour nous ? l’idéal, soyons solidaires et vigilants. |
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| 27.03.15 - 22:57 |
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| dimitrichevaux |
# 6 ≡ Re: Eleveurs, sociopros en général : continuons de réagir et de proposer |
Groupe I
915 posts depuis
le 6/7/2010
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voilà la citation d'origine: Fermer des courses aux entraineurs n’ayant pas gagné 10, 20 et 30 courses dans l’année, à des Permis d’Entrainer (dans ce cas, nominaux 3000 €).
je n'ai pas compris comme toi martial, mais que c'était pour défendre les permis d'entrainer bien au contraire et qu'il aient de petites courses que pour eux, en plus de toutes les autres courses, je crois qu'ils ont le droit à toutes, pour moi une course fermée n'est pas une course supprimée, mais fermée au niveau des conditions de courses, mais si tu es permis d'entrainer semble t-il, tu dois savoir mieux que moi turfiste surtout ce qu'est une course fermée, au trot c'est plus parlant, courses fermée aux chevaux n'ayant pas gagné tant, pour les gens pas du milieu des courses, il aurait fallu dire 'Réserver des courses aux, ou à ' c'est sûr |
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| 01.04.15 - 21:55 |
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Eleveurs, sociopros en général : continuons de réagir et de proposer
