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# 1 ≡ Prix de l’Arc de Triomphe |
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Le Prix de l’Arc de Triomphe, Il fut créé en 1920. Il sera disputé en 2013 pour la 92ème fois. Par suite de la guerre, il ne fut pas couru en 1939 et 1940 et eut lieu au Tremblay en 1943 et 1944 sur 2 300 m. Temps record : 2’ 24’’ 49/100 en 2011 par Danedream améliorant de très peu celui de 2’ 24’’ 60/100 détenu depuis 1997 par Peintre Célèbre. Origine de la course. Dès qu'elle eût abandonné le terrain défectueux du Champ de Mars pour ouvrir en 1857 son bel hippodrome de Longchamp, la " Société d'Encouragement pour l'amélioration des races de chevaux en France " forma un ambitieux projet : réunir sur la piste sélective du bois de Boulogne des pur sang de diverses nationalités pour désigner le meilleur d'entre eux. Réaliser la sélection constitue en effet la première des missions imparties à la société mère des courses plates françaises. Première étape en 1863 avec la création du Grand Prix de Paris permettant de confronter sur 3 000 mètres en juin le lauréat du Derby d'Epsom avec celui du Prix du Jockey Club, le derby français. Poursuivant le même objectif, trente ans plus tard, la Société d'Encouragement organise une rencontre entre les 3 ans et leurs aînés sur 2 400 mètres, début octobre, quand les jeunes ont eu le temps de s'épanouir. C'est le Prix du Conseil Municipal créé en 1893. 1920, c'est la renaissance des courses après la Grande Guerre. La Société d'Encouragement veut offrir une vitrine à l'élevage du pur sang de France. Soucieuse de perfection, elle imagine une nouvelle course présentant les mêmes caractéristiques de date et de distance que le Conseil Municipal, mais sans surcharges ni décharges, simplement à poids pour âge, chacun sur un pied d'égalité. Sur le calendrier hippique européen, aucune concurrence le premier dimanche d'octobre. A cette course richement dotée, il faut un nom éloquent. Pour célébrer la victoire des forces alliées, les troupes victorieuses n'ont-elles pas défilé le 14 juillet 1919 sous l'Arc de Triomphe, ce monument édifié à la gloire des armées françaises ? Alors, même si une petite course de Longchamp était appelée ainsi depuis 1882, on va donner le nom de Prix de l'Arc de Triomphe à l'épreuve internationale ayant pour but de comparer la valeur des élevages de pur sang européens et de désigner un champion. Histoire d'un partenariat. L'Arc de Triomphe obtient un premier appui financier en 1935 quand l'Etat autorise la Société d'Encouragement à organiser un " sweepstake " sur la course comme sur le Grand Prix de Paris couru trois mois plus tôt. Le sweepstake est une loterie dont l'attribution des prix dépend à la fois d'un tirage et du résultat de la course. Il en sera de même de 1936 à 1938, à la seule différence que l'organisation du sweepstake sera confiée à la Loterie nationale (créée en 1933) imposée par l'Etat. Après la guerre, il fallut attendre l'année 1949 pour que soit renouée l'alliance de l'Arc de Triomphe avec le sweepstake, tranche spéciale de la Loterie nationale. Celle-ci dépose dans la corbeille 50 millions de francs qui permettent de quintupler, d'une année à l'autre, la dotation de l'Arc - il offre désormais 25 millions de francs à son vainqueur - et de revaloriser toutes les courses d'un week-end spécialement étoffé. A cet effet, le Grand Critérium est incorporé à la réunion de l'Arc et ce pour quatre années, après quoi il retrouvera sa place habituelle au calendrier, une semaine après. Mais au fil des ans, l'aide de la Loterie nationale se réduira, au point de devenir symbolique dans les années 70. Et en 1982, l'Arc servira pour la dernière fois de support à un sweepstake de la Loterie nationale. Cette même année 1982, l'Arc de Triomphe associe son nom à celui d'une chaîne hôtelière, Trusthouse Forte, dont le siège est à Londres, possédant quelque huit cents hôtels dans le monde, dont deux palaces parisiens, le Plazza Athénée et le George V. L'union durera six ans, jusqu'en 1987. En 1988 elle est détrônée par une autre société hôtelière de nationalité italienne, " Ciga Hôtels ", dont le principal actionnaire est le prince Karim Aga Khan. Mariage somptueux qui va faire du " Ciga Weekend " le point de mire du turf mondial. En 1989, le samedi s'enrichit du Grand Critérium puis en 1991 du Prix du Cadran d'où un week-end riche de cinq courses de groupe I. Ainsi le 12 octobre 1991, sont rassemblés à Longchamp 35 000 spectateurs (dont 30 000 payants) et - devant leur écran - quelque 45 millions de téléspectateurs des cinq continents, grâce à dix-neuf chaînes de télévision intéressées par cette course qu'elles considèrent comme un événement sportif majeur. Après six années de luxueuse vie commune survient la séparation et l'Arc retrouve en 1994 son ancien conjoint " Forte ", mais pour trois ans seulement. Rendu célibataire en 1997 et 1998, l'Arc retrouvera un partenaire en 1999, encore un groupe hôtelier, cette fois français à la recherche d'une audience internationale, les " Hôtels et Casinos du groupe Lucien Barrière ". Cette union durera neuf années, jusqu’en 2007.
Un nouveau partenariat intervient en 2008. Signé avec le Qatar, pays jeune et en plein essor, pour une durée de cinq ans, il permet de doubler l’allocation du Prix de l’Arc de Triomphe, portée de 2 à 4 millions d’euros. Partenariat prorogé en juin 2010 pour dix années supplémentaires, assurant le parrainage de l’Arc jusqu’en 2022. Il permet aussi aux courses de galop françaises de franchir une étape majeure dans l’histoire du Prix de l’Arc de Triomphe qui devient en 2008 la course sur gazon la mieux dotée au monde. Ce partenariat a été notamment conclu pour promouvoir les courses organisées par le Qatar Racing & Equestrian Club (QREC, fondé en 1975) qui s’ouvre à l’univers du pur sang anglais au travers d’un projet ambitieux. L’allocation globale du week-end du Qatar Prix de l’Arc de Triomphe est ainsi portée à 6,7 millions d’euros. Programme composé de quinze courses de pur sang anglais (dont 7 courses de groupe I et 4 courses de groupe II) ainsi que 2 courses de groupe I pour chevaux de pur sang arabes organisées par France Galop et l’AFAC (Association Française du Cheval Arabe de Course). L’une, pour les pouliches de 4 ans, sera disputée le samedi sous le nom de « Qatar French Arabian Breeders’ Challenge », l’autre nommée « Qatar Arabian World Cup », devenue la course pour pur sang arabes la plus prestigieuse au monde avec 450 000 euros d’allocation, sera courue juste après le Qatar Prix de l’Arc de Triomphe. Le dîner de l'Arc de Triomphe. Cet Arc 1949 est source d'un autre événement fort apprécié des personnalités étrangères, le dîner offert la veille de la course dans les salons de Maxim's par la revue Racing & Breeding qui a pour mécène Marcel Boussac. Celui-ci avait exprimé le souhait d'un tel rendez-vous international treize ans plus tôt, quand il avait prononcé au Gimcrack Dinner le traditionnel discours dû par le propriétaire du lauréat (Goya) des Gimcrack Stakes à York. Après le décès de Marcel Boussac qui en assurait personnellement la charge, ce dîner, dit de l'Arc de Triomphe, sera reconduit par la Société d'Encouragement puis par France Galop, à la seule différence qu'il aura lieu dans des sites variés, représentatifs de Paris et aptes à accueillir quelque quatre cents invités. Un monument bien vivant. " Ce n'est pas une course, c'est un monument ". A ce slogan destiné à l'affichage en 2003, l'historien peut répliquer que " l'Arc " demeure une course et que le monument est vif. Certes, chaque année la course a fourni sa pierre pour constituer l'édifice dont les dimensions en font aujourd'hui un monument symbolique du turf français. Mais si, comme tout monument digne de ce nom, l'Arc exalte le souvenir, sa vivacité est grande.
En 2011, nouveau temps record de la course 2’ 24’’ 49/100 par Danedream améliorant de très peu celui de 2’ 24’’ 60/100 détenu depuis 1997 par Peintre Célèbre qui avait amélioré celui réalisé dix ans plus tôt par Trempolino (2’ 26’’ 30/100). En 1999, venu spécialement du Japon, El Condor Pasa manque de peu d'offrir à l'empire du Soleil-Levant sa première victoire dans l'Arc. Il en est privé d'une demi-longueur par Montjeu qui conquiert ce jour le titre de " meilleur cheval de l'année dans le monde ". En 2001, grâce au parrainage du " Groupe Lucien Barrière ", " France Galop " est en mesure de constituer pour la première fois en Europe, sur une seule journée, un programme comportant six courses de groupe I, dont le Prix de l'Arc de Triomphe qui célèbre gaillardement sa 80ème édition.
L’intérêt mondial que suscite l’Arc de Triomphe peut se résumer ainsi : plus de 200 pays retransmettent l’Arc ; en 2009, on a enregistré 56 000 spectateurs (dont 20 000 Anglo-saxons) tout au long du week-end et plus d’un milliard de téléspectateurs en audience cumulée. En 2007, l’Arc a bénéficié d’une couverture télévisée à l’international de plus de 18 heures.
Le Prix de l'Arc de Triomphe est non seulement la plus belle course du programme de sélection de " France Galop ", mais aussi, sur le plan mondial, il est reconnu comme le test suprême des pur sang car il désigne ceux qui seront les meilleurs reproducteurs. Le palmarès de la course que l'on peut consulter sur le site officiel du Qatar Prix de l'Arc de Triomphe en témoigne. Les doublés réussis ou manqués. Seulement six chevaux sont parvenus à gagner deux fois l'Arc. Ce sont : Ksar en 1921 et 1922, Motrico en 1930 et 1932, Corrida en 1936 et 1937, Tantième en 1950 et 1951, Ribot en 1955 et 1956, Alleged en 1977 et 1978. Avant de réussir le doublé, deux d'entre eux avaient déjà participé à l'Arc : Motrico, 4ème à 3 ans en 1928 et Corrida, 3ème à 3 ans en 1935. Les quatre autres champions ont réalisé leur doublé à 3 et 4 ans. Douze chevaux avaient participé sans succès à l'Arc avant leur victoire. Ce sont : Massine 2ème à 3 ans en 1923, Djebel 3ème à 4 ans en 1941, Nuccio 2ème à 3 ans en 1951, Oroso 6ème à 3 ans en 1956, Exbury 6ème à 3 ans en 1962, Allez France 2ème à 3 ans en 1973, Star Appeal non placé à 3 ans en 1973, gagnanat à 5 ans, Ivanjica non placée à 3 ans en 1975, All Along non placée à 3 ans en 1982, gagnante à 4 ans, puis 3ème à 5 ans, Sagace non placé à 3 ans en 1983, vainqueur à 4 ans puis 2ème à 5 ans, Rainbow Quest non placé à 3 ans en 1984, Tony Bin 2ème à 4 ans en 1987. On voit donc que deux d'entre eux, All Along et Sagace, comptèrent trois tentatives pour une victoire. Par ailleurs dix-sept vainqueurs de l'Arc échouèrent dans leur tentative de renouveler leur victoire. Ce sont : Priori 5ème à 4 ans en 1926, Kantar 2ème à 4 ans en 1929, Ortello 4ème à 4 ans en 1930, Brantôme 4ème à 4 ans en 1935, Le Pacha 6ème à 4 ans en 1942, Ardan 2ème à 4 ans en 1945 et 4ème à 5 ans en 1946, Coronation non placée à 4 ans en 1950, La Sorellina non placée à 4 ans en 1954, Puissant Chef 6ème à 4 ans en 1961, San San non placée à 4 ans en 1973, Three Troikas 4ème à 4 ans en 1980, Detroit non placée à 4 ans en 1981, Carnegie 6ème à 4 ans en 1995, Helissio 6ème à 4 ans en 1997, Montjeu 4ème à 4 ans en 2000. Bago 3 ème à 4 ans en 2005. Hurricane Run 3ème à 4 ans en 2006. Les femelles dans la course. Elles ont remporté dix-neuf victoires, soit 20,8 % des 91 éditions de la course. Ces 18 héroïnes – l’une a réalisé le doublé – ont pour nom : Pearl Cap (1931), Samos (1935), Corrida* (1936, 1937), Nikellora (1945), Coronation (1949), La Sorellina (1953), San San (1972), Allez France* (1974), Ivanjica* (1976), Three Troikas (1979), Detroit (1980), Gold River* (1981), Akiyda (1982), All Along* (1983) et Urban Sea* (1993), Zarkava (2008), Danedream (2011) et Solemia* (2012). L'astérisque signifie que la course a été gagnée à 4 ans. Dix d'entre elles avaient disputé le Prix de Diane, cinq en le gagnant (Pearl Cap, Nikellora, La Sorellina, Allez France), trois en se plaçant deuxième (Samos, Three Troikas, Akiyda) et deux, All Along et Urban Sea, en se classant respectivement cinquième et sixième. Quinze d'entre elles avaient participé au Prix Vermeille, huit en le gagnant (Pearl Cap, Nikellora, San San, Allez France, Ivanjica, Three Troikas, All Along, Zarkava), les sept autres en obtenant les classements suivants : 2ème Akiyda, 3ème Detroit et Urban Sea et Solemia, 4ème Gold River, 6ème La Sorellina et non placée Samos. Trois rétrogradations. 4 octobre 1925. Se recommandant de sa place de troisième derrière Massine l'année précédente et de six victoires (dont le Cadran et le Prix du Président de la République), le 4 ans Cadum - monté par Matthew MacGee, entraîné par Clément Duval - est favori de l'Arc (11/10). Il passe le premier le poteau d'arrivée, une longueur devant Priori. Mais ses nombreux preneurs s'inquiètent quand retentit la sirène. Le cheval du baron Edouard de Rothschild a penché peu avant l'arrivée, coupant la ligne de Priori. De celui-ci, les commissaires font un vainqueur sur le tapis vert. Cet heureux Priori (40/1) monté par Marcel Allemand, appartient au comte Gérard de Chavagnac et a pour entraîneur Percy Carter. Il venait de remporter le Prix Royal Oak. 4 octobre 1959. Arrivée dans un mouchoir. Pour connaître le vainqueur, il faut attendre trente-deux minutes : douze pour l'examen de la photographie puis vingt pour l'étude du film contrôle (mis en place un mois plus tôt). Finalement dead-heat, une courte tête et deux courtes encolures, soit l'équivalent d'une demi-longueur, séparent les premiers du cinquième. Mais, sur intervention des commissaires, Midnight Sun (50/1) - monté par Jacques Fabre, appartenant à François Dupré et entraîné par François Mathet - est rétrogradé à la deuxième place pour avoir gêné son " dead-heater " Saint Crespin (17/1) au prince Aly Khan, monté par George Moore et entraîné par Alec Head. Troisième Le Loup Garou (45/1) devant Mi Carina (40/1) et l'anglais Primera (9/1). 6 octobre 1985. Vainqueur l'année précédente, Sagace, le 5 ans de Daniel Wildenstein qu'entraîne Patrick Biancone, est grand favori (6/10). A l'entrée de la ligne droite, Sagace, calé à la corde, file au poteau. Seul danger, Rainbow Quest qui gagne du terrain et se rapproche de la corde. Cravaché à droite par son nouveau jockey Eric Legrix, Sagace verse à gauche heurtant à deux reprises Rainbow Quest. Au passage du poteau Sagace a une encolure d'avance sur Rainbow Quest (qui plafonne). L'incident est presque passé inaperçu. Tandis que le public acclame le français victorieux, retentit la sirène annonçant une réclamation du jockey du cheval anglais. Au bout de sept minutes, c'est un public anéanti qui apprend la rétrogradation de son favori. La diffusion immédiate du film contrôle sur les écrans de télévision, à défaut de calmer les esprits, apporte la preuve de la matérialité de la faute. Appel de la décision est déposé, arguant que Rainbow Quest avait quitté l'extérieur pour se rapprocher de Sagace provoquant ainsi le réflexe de défense de celui-ci. Cet appel, jugé recevable, est dit mal fondé. Heureux bénéficiaires de la difficile décision des commissaires, le prince Khalid Abdullah, l'entraîneur Jeremy Tree et le jockey Pat Eddery.
Un distancement. En 2006, surprise de taille quelques jours après l’Arc de Triomphe. On apprend que le cheval japonais Deep Impact, est « distancé », c’est-à-dire privé de la troisième place pour présence dans ses urines d’un produit interdit, l’ipratropium, un broncho-dilatateur qui lui avait été administré par inhalation. Son entraîneur reconnaît que le champion japonais avait été traité pour un début de bronchite. Une erreur d’appréciation de la rémanence serait à l’origine de la faute reconnue par l’entraîneur japonais, sanctionné d’une amende de 15 000 euros. En 1903, les dirigeants des courses françaises avaient été les premier dans le domaine du sport à prohiber l’administration – en vue d’une épreuve – de tout stimulant, appelé alors « doping ». En 2006, les responsables des courses françaises ont appliqué les règles fixées par les instances hippiques européennes, règles beaucoup plus contraignantes que celles régissant d’autres sports. Politique, courageuse, excluant toute forme de médication à l’approche d’une course. Propriétaires. Le record des victoires appartient à Marcel Boussac, six fois vainqueur : Corrida (1936, 1937), Djebel (1942), Ardan (1944), Caracalla (1946) et Coronation (1949). Viennent ensuite : 4 Daniel Wildenstein : Allez France (1974), All Along (1983), Sagace (1984) et Peintre Célèbre (1997). 4 le prince Karim Aga Khan : Akiyda (1982), Sinndar (2001), Dalakhani (2003) et Zarkava (2008). 4 Khalid Abdullah : Rainbow Quest (1985), Dancing Brave (1986), Rail Link (2006) et Workforce (2010). 3 Robert Sangster : Alleged (1977, 1978) et Detroit (1980). 3 Michael Tabor : Montjeu (1999), Hurricane Run (2005) et Dylan Thomas* (2007). 2 Evremond de Saint-Alary : Comrade (1920) et Samos (1935). 2 Mme Edmond-Blanc : Ksar (1921, 1922). 2 le vicomte Max de Rivaud : Motrico (1930, 1932). 2 le baron Edouard de Rothschild : Brantôme (1934) et Eclair au Chocolat (1938). 2 le prince Aga Khan III : Migoli (1948) et Nuccio (1952). 2 François Dupré : Tantième (1950, 1951). 2 le marquis Incisa della Rochetta : Ribot (1955, 1956). 2 Jacques Wertheimer : Ivanjica (1976) et Gold River (1991). 2 Godolphin : Sakhee (2001) et Marienbard (2002).
* En association avec Mme John Magnier. ** On peut y associer Wertheimer & Frère propriétaires de Solemia (2012). Entraîneurs. Le record appartient avec sept victoires à André Fabre : Trempolino (1987), Subotica (1992), Carnegie (1994), Peintre Célèbre (1997) et Sagamix (1998) et Hurricane Run (2005) et Rail Link (2006). Viennent ensuite : 4 Charles Semblat : Djebel (1942), Ardan (1944), Caracalla (1946) et Coronation (1949). 4 François Mathet : Tantième (1950, 1951), Sassafras (1970) et Akiyda (1982). 4 Alec Head : Nuccio (1952), Saint Crespin (1959), Ivanjica (1976) et Gold River (1991). 3 Frank Carter : Mon Talisman (1927), Pearl Cap (1931) et Samos (1935). 3 Etienne Pollet : La Sorellina (1953), Sea Bird (1965) et Vaguely Noble (1968). 3 Vincent O'Brien : Ballymoss (1958) et Alleged (1977, 1978). 3 Saeed Bin Suroor : Lammtarra (1995), Sakhee (2001) et Marienbard (2002). 2 Walter-Robert Walton : Ksar (1921, 1922). 2 Maurice d'Okhuysen : Motrico (1930, 1932). 2 Lucien Robert : Brantôme (1934) et Eclair au Chocolat (1938). 2 John Watts : Corrida (1936, 1937). 2 René Pelat : Nikellora (1945) et Soltikoff (1962). 2 William Head : Le Paillon (1948) et Bon Mot (1966). 2 Ugo Penco : Ribot (1955, 1956). 2 Charles-William Bartholomew : Puissant Chef (1960) et Topyo (1967). 2 Angel Penna : San San (1972) et Allez France (1974). 2 Patrick Biancone : All Along (1983) et Sagace (1984). 2 John Hammond : Suave Dancer (1991) et Montjeu (1999). 2 John Oxx : Sinndar (2000) et Sea The Stars (2009). 2 Alain de Royer-Dupré : Dalakhani (2003) et Zarkava (2008). Une seule femme a entraîné un vainqueur de l'Arc, Mme Christiane Head-Maarek : Three Troikas (1979). Jockeys. Le record appartient conjointement avec quatre victoires à Jacques Doyasbère : Djebel (1942), Ardan (1944) et Tantième (1950, 1951) ; à Freddy Head : Bon Mot (1966), San San (1972), Ivanjica (1976) et Three Troikas (1979) ; à Yves Saint-Martin : Sassafras (1970), Allez France (1974), Akiyda (1982) et Sagace (1984) ; et à Pat Eddery : Detroit (1980), Rainbow Quest (1985), Dancing Brave (1986) et Trempolino (1987). et à Olivier Peslier : Helissio (1996), Peintre Célèbre (1997), Sagamix (1998) et Solemia (2012). Viennent ensuite : 3 Charles Semblat : Mon Talisman (1927), Pearl Cap (1931) et Motrico (1932). 3 Charles Elliott : Corrida (1936, 1937) et Caracalla (1946). 3 Roger Poincelet : Coronation (1949), Nuccio (1952) et Prince Royal II (1964). . 3 Enrico Camici : Ribot (1955, 1956) et Molvedo (1961). 3 Lester Piggott : Rheingold (1973) et Alleged (1977, 1978). 3 Michael Kinane : Carroll House (1989), Montjeu (1999) et Sea The Stars (2009). 3 Lanfranco Dettori : Lammtarra (1995), Sakhee (2001) et Marienbard (2002). 2 Frank Bullock : Comrade (1920) et Ksar (1922). 2 Charles Bouillon : Brantôme (1934) et Eclair au Chocolat (1938). 2 William Johnstone : Nikellora (1945) et Sica Boy (1954). 2 William Williamson : Vaguely Noble (1968) et Levmoss (1969). 2 Thierry Jarnet : Subotica (1992) et Carnegie (1994). 2 Lanfranco Dettori : Lammtarra (1995) et Sakhee (2001). 2 Christophe Soumillon : Dalakhani (2003) et Zarkava (2008). 2 Kieren-Francis Fallon : Hurricane Run (2005) et Dylan Thomas (2007). |
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10.09.14 - 09:35 |
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Anonyme |
# 2 ≡ Re: Prix de l’Arc de Triomphe |
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10.09.14 - 10:24 |
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Anonyme |
# 10 ≡ Re: Prix de l’Arc de Triomphe |
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Moi pas. Ectot va gagner l'Arc avec Greg Besnoit sur son dos qui aura fait le bon choix. Ivanowhe va causer une surprise en prenant une belle place. |
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14.09.14 - 19:21 |
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