PRIX VERMEILLE 2009 (gr. I, Longchamp) : Stacelita

alors que le changement de ligne de la lauréate (la vraie) est du à la présence du leader de Stacelita qui s'est écartée de la corde.

Sobérania finit à une courte encolure de Board Metting... malgré la gêne occasionnée !

Les commissaires devait simplement répondre à une seule question : est ce que le déplacement volontaire vers la corde du jockey de Dar ré Mi a empéché Sobérania d'obtenir un meilleur classement. A l'évidence oui, vu le très faible écart à l'arrivée entre Board Meeting et Soberania. S'il y avait eu trois longueurs d'écart entre Board et Sobérania, la décision aurait été tout autre.

le gagnant débourse la différence d'allocation entre celle qu'aurait pu obtenir le cheval lésé et celle qu'il a obtenu.
Ainsi, le vrai gagnant n'est pas pénalisé et le cheval gêné récupère son dû malgré tout.

En fait, le cas du Vermeille reflète la rigidité des commissaires qui ne vont pas au bout des choses

1_ Dar Re Mi gène un peu et empêche, peut être, Sobrania d'avoir une meilleure allocation
2_ Si Dar Re Mi gène, c'est bien parce que le leader de Stacelita s'écarte et oblige donc Dar Re Mi, qui est bourré de gaz à changer de ligne

d'où enquête
Dans leur décision, les commissaires n'ont fait que la moitié du chemin

Soit il ne fallait touché à rien et tout le monde était content (Jean-Claude Rouget lui-même n'aurait pas crié au scandale je pense. Il n'est d'ailleurs pas monté sur le podium.), en considérant que c'est à cause du leader que tout cela est arrivé
Soit il fallait rétrograder Dar Re Mi, le leader ET Stacelita, qui est solidaire de son leader, puisque faisant écurie. Et là, on arrivait dans un cas totalement absurde, où les deux premières d'un Groupe 1 étaient retrogradées.

Moralité, la première solution était la bonne, mais, bizarrement, les commissaires n'ont pas choisis de l'appliquer.

Il y a eu une vérité sur la piste, qui a montré que Dar Re Mi était bien la meilleure dimanche, mais cette vérité n'a pas été entérinée par les commissaires, qui ont privilégiés (à moitié seulement) le Code plutôt que le sport, alors qu'on avait ici un cas qui pouvait presque faire jurisprudence.

mais cette vérité n'a pas été entérinée par les commissaires, qui ont privilégiés (à moitié seulement) le Code plutôt que le sport,