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 nalex |
 # 16 ≡ |
Groupe I
7402 posts depuis
le 8/8/2005
De : Angers
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Alors, sur le point du dopage, tout le monde sera d'accord, il faut que les sanctions soient revues à la hausse, et surtout soient appliquées, sans disctinction aucune ! Si Mr X, bien connu du monde du trot et faisant parti d'une famille influente se fait prendre à tricher en dopant ses chevaux, il faut que la sanction soit la même que pour le petit entraineur qui a 3 chevaux dans son écurie.
Concernant les écuries gagnantes en course, je ne comprends pas les intervenants désirant qu'elles disparaissent. C'est tout à l'avantage du parieur. Par exemple, lorsqu'un entraineur présente deux chevaux dont l'un n'est là que pour faire le "lièvre" (chose pas toujours évidente à savoir pour le parieur avant coup), le parieur qui a misé sur le mauvais cheval a encore une chance de rentrer dans ses frais. Le seul point négatif de l'écurie gagnante, c'est lorsque c'est le cheval avec la grosse côte qui l'emporte, ce qui n'arrive tout de même pas tous les jours !
Enfin pour le règlement concernant la ferrure, je pense personnellement que c'est aller à la facilité que de prendre des mesures interdisant de déferrer.
Soyons clairs : Ces mesures pourraient être prise en raison de l'abus d'un petit nombre d'entraineurs bien connus. Il est inadmissible de voir un cheval les pieds en sang après une course, obligé de monter dans le van pour être emmené au salivarium (exemple vu sur un champ de course). L'accumulation de courses sans fers aux sabots est un danger pour la santé du cheval.
Mais ce qui est encore plus intolérable, c'est de ne voir aucune réaction de la part des instances dirigeantes à l'encontre des entraineurs qui ont de telles pratiques. N'importe quelle association de défense des animaux qui surprendrait de tels actes mènerait une action en justice contre le fautif. Pourquoi la SECF ne pourait-elle pas faire de même ?
Déferrer son cheval une ou deux fois dans l'année ne peut en aucun cas lui être nuisible. Au contraire, même !
Une manière de protéger nos chevaux serait d'instaurer une limite du nombre de courses sans fers. Que ce soit par mois, trimestre, semestre, année, on a le choix ! Un système apparenté aux bons de priorité, par exemple, avec un bon possible par trimestre et par cheval, serait tout à fait réalisable.
Si la SECF veut protéger les chevaux, elle devrait alors se pencher sur le fait que courir tous les deux jours pendant deux semaines est certainement plus dangereux pour la santé d'un cheval que de ne pas porter de fers une fois tous les deux mois.
Les Qualifications  |
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| 11.09.08 - 04:50 |
 
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Le trot vers une interdiction de déferrer ?
