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| Sondage : Etes vous pour ou contre le maintien de cette règle? L'aménager voire la refonte totale de celle ci. | |
| Terminé le 17.08.2012 - 19:12:02 |
» Pour
45.45 % (5)
| » Contre et l'aménager ou la revoir complètement
54.55 % (6)
| Total Votants : 11
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 Stingmens |
 # 9 ≡ Re: La règle qui dit que tous concurrents au départ d'une course doit défendre ses chances |
Groupe I
7184 posts depuis
le 9/10/2010
De : Compiègne
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J'ai voté contre, et je me suis déjà exprimé sur le sujet, mais, sans rentrer dans les détails :
- faire ce fameux tour fait partie des courses et de la gestion de carrières des trotteurs. La majorité des pros diront que c'est en course qu'on affûte son cheval,
- la part des chevaux qui font le tour est quand même assez minime, la majorité (et heureusement !) respecte le code des courses,
- quid des 4B (entre autres) ?
- je suis assez sceptique sur la mise en place d'une règle, type un "quota" de chevaux autorisés à faire le tour dans une course. Imaginons un peloton de chevaux à fond devant pour disputer la victoire, et derrière, 3, 4 ou 5 chevaux en "promenade"... Ce ne serait pas très clair pour le public. Ce serait créer une règle contraignante dont les courses n'ont pas besoin.
- et je rejoins RoyalQuito là-dessus :
RoyalQuito,
Citation :de + le probléme des engagements on élimine des chevaux qui voulaient courrir pour laisser courrir des chevaux qui viennent s'entrainer
Si on applique la règle de défendre sa chance jusqu'au bout, qu'est ce qu'on fait du driver, se voyant battu car le cheval est cuit, et qui pose les mains dans la ligne droite pour accrocher une 6-7e place, alors qu'il aurait pu user de sa cravache pour tenter d'être dans les 3 (je suis un brin caricatural, je le reconnais) ? |
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| 11.08.12 - 12:12 |
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| Stingmens |
# 10 ≡ Re: La règle qui dit que tous concurrents au départ d'une course doit défendre ses chances |
Groupe I
7184 posts depuis
le 9/10/2010
De : Compiègne
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Pour alimenter le débat :
A qui le tour?
JEAN-BAPTISTE PIGALLE | Publié le 30.08.2012, 07h40
«Faire le tour » : le monde des courses exècre cette expression turfiste. Pourtant, c’est bien parce qu’ils n’ont pas défendu leurs chances, comme le prévoit le Code des courses, que ROYAL DE VAIGES, TEXAS CHARM (qui, par contrecoup, ne sera pas au départ de l’important Critérium des 5 Ans, samedi à Vincennes) et leur entourage respectif ont été sévèrement sanctionnés cet été.
Guillaume Maupas ne tient pas à entretenir la polémique : « Les commissaires ont sanctionné deux cas anormaux qui ne peuvent pas être tolérés pour l’image et la régularité des courses, précise toutefois le directeur technique du Cheval français. De tels comportements ne sont pas acceptables vis-à-vis des parieurs qui financent le système. »
En clair, on ne badine pas avec l’image des courses : « Notre vigilance doit être renforcée, ajoute Guillaume Maupas. D’ailleurs, à ma demande et par souci de transparence, lorsqu’un favori ne sera pas à l’arrivée, son driver sera convoqué, pour explications, par les commissaires. »
Des intérêts différents
Mais alors, comment résoudre un problème vieux comme les courses hippiques, qui génère régulièrement de la frustration chez les joueurs, et qui tient au fait que les intérêts de ces derniers, qui ne sont propriétaires d’un cheval que le temps d’une course, sont différents des intérêts des propriétaires et des professionnels qui ont une carrière de plusieurs années à gérer et qui ne peuvent pas demander à leurs chevaux, qui ne sont pas des machines, d’être au top365 jours par an?
Il semble impératif que les professionnels jouent franc jeu avec la presse (et ne soient pas sanctionnés à cause de ces déclarations) et que, dans un même temps, les turfistes appréhendent les habitudes tactiques des différentes écuries. Enfin, dans un but incitatif, pourquoi ne pas verser et ajuster la répartition des allocations en fonction des paris proposés sur une course?
L’avis d’un professionnel
Pierre Vercruysse, représentant des drivers, revient sur ce sujet : « Il est clair qu’il faut limiter ce genre de problèmes. Mais calmons le jeu. A mon sens, il faut encore plus de communication entre journalistes et professionnels pour connaître l’état de forme des chevaux. Cela permettrait aux pronostiqueurs d’effectuer leurs choix plus sereinement et d’informer les joueurs au mieux.
Et puis, les turfistes aiment deviner le jour J pour un cheval. Ce n’est pas une science exacte et c’est ce qui fait le charme des courses. » Il poursuit en prenant exemple sur d’autres sports : « Comme dans l’athlétisme, il y a des objectifs à atteindre et les sportifs sont préparés pour. La carrière d’un cheval se gère comme celle d’un athlète avec des hauts et des bas, tout simplement. »
Le Parisien |
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| 30.08.12 - 20:05 |
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La règle qui dit que tous concurrents au départ d'une course doit défendre ses chances.
.Petites pensées pour ceux qui ont de la chance que les commissaires ferment les yeux perso je me regarderai pas dans une glace quand je fait perdre 30 000 aux gens qui ont investit sur mes chances et que je finit 6éme en ayant du foncé dans 4 chevaux dans le parcours pour me faire arreter ainsi que rester dans le dos d'un cheval qui n'avait aucune chance jusqu'au poteau des 150 et hop on décale et on refait beaucoup de terrain en fumant la pipe 
