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# 132 ≡ Re: PS à l'exterieur toute l'année : resultat en course? |
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ça y ressemble : "Taille : de 0,30 à 1,20 m. Floraison : de juin à novembre. Cycle de vie : bisannuelle vivace. Répartition : france : Adventice répandue dans les champs. Toxicité : toxique. Habitat : prairies, bords des chemins, terrains vagues, terrains incultes, lisière des bois, bord des routes, bord des cultures. Fleurs : capitule jaune doré, de 1,5 à 2,5 cm, en inflorescence peu dense ; 12 à 15 ligules les bractées extérieures sont beaucoup plus courtes que les bractées intérieures ; bractées brunes à leurs extrémités. Feuilles : feuilles profondément lobées, à lobes à peu près égaux. Reproduction : les akènes du disque sont munis d'une aigrette de soies, ceux du pourtour sont glabres. Commentaires : ramifiée dans la moitié supérieure." dixit plantes.sauvages.free.fr |
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13.08.07 - 10:54 |
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# 135 ≡ Re: PS à l'exterieur toute l'année : resultat en course? |
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Voici ce que publie le centre de recherches de Lethbridge au Canada au sujet du Séneçon Jacobée :
" Séneçon jacobée (Senecio jacobaea L.)
P. Harris
Description1, 5, 7, 8, 11, 13, 14 : Le séneçon jacobée est une plante herbacée vivace de la famille des Composées. La plantule passe une ou deux années sous forme de rosette, puis produit une ou plusieurs tiges cannelées, hautes de 30 à 150 cm, ramifiées dans leur moitié supérieure. Les capitules sont réunis en un corymbe terminal et apparaissent à la fin juillet et en août. Chaque capitule, d'un diamètre de 12 à 25 mm, compte 12 à 15 rayons jaune doré et un seul rang de bractées. Les feuilles des plantules et des jeunes rosettes sont ovées et entières, tandis que celles des tiges et des rosettes plus âgées comportent jusqu'à six lobes arrondis, plus ou moins crépus, eux-mêmes divisés en deux ou trois parties. Par contraste, les 27 espèces de séneçon indigènes du Canada ont des feuilles simples ou divisées une seule fois et munies de dents aiguës. Les feuilles broyées du séneçon jacobée dégagent une odeur désagréable. Les anglophones des Maritimes appellent souvent la plante stinking willie, allusion à William Cumberland, général anglais responsable du massacre des Jacobites, en 1745. Le nom français “jacobée” pourrait sembler avoir la même origine, mais il est en fait plus ancien.
Le séneçon jacobée est indigène d'Europe, où il est présent depuis la Méditerranée jusqu'à 62° 30' de latitude nord et depuis l'Atlantique jusqu'à la Sibérie et l'Asie Mineure. Il pousse depuis le niveau de la mer jusqu'à une altitude de 1 600 m. L'humidité joue un rôle important dans la levée des plantules, dans la croissance de la plante et dans sa régénération après défoliation13 ou à partir de bourgeons racinaires après la mort de la tige florifère10. C'est donc dire que le séneçon jacobée préfère les climats de type maritime. Il tolère une ombre légère, mais vient mieux dans les lieux ouverts et est particulièrement commun dans les lieux à faible concurrence végétale, comme les pâturages surexploités et les dunes. Les racines sont mycorhizées par des champignons qui améliorent probablement la nutrition de la plante dans les sols pauvres ou en présence d'une concurrence végétale.
Le séneçon jacobée est pollinisé par les insectes et produit jusqu'à 150 000 graines par plante, de sorte qu'il n'est pas sensible à la destruction de ses graines ou de ses fleurs. Il s'hybride avec quatre espèces européennes, le S. aquaticus, le S. cineraria, le S. ercifolius et le S. alpinus. Le vent contribue peu à la dissémination, car 31 % des graines tombent à moins de 1 m de la plante et 89% à moins de 5 m. Les graines sont toutefois dispersées par les animaux et peuvent germer dans le fumier de moutons. Dans un sol argileux-loameux, on a observé que 1% des graines des 2 cm supérieurs étaient viables après 7 ans et que cette longévité atteignait 20 ans à une profondeur de 20 cm.
Dans les milieux humides où l'herbe est tondue, comme les terrains de golf, le séneçon jacobée demeure à l'état de rosette et se perpétue par ses bourgeons racinaires. Dans le sud-ouest de la Colombie-Britannique, les tiges défoliées pendant l'été refleurissent à l'automne, et les graines arrivent à maturité au début décembre. Le collet peut mourir après la floraison, mais, dans les milieux humides, les bourgeons racinaires produisent de nouvelles rosettes.2
Le séneçon jacobée a probablement été introduit à Pictou (Nouvelle-Écosse) vers 1850, à Tignish (Île-du-Prince-Édouard) en 1888 et à Nanaimo (Colombie-Britannique) en 1913. Le premier spécimen d'herbier a cependant été récolté en 1950. Au Canada, les principales infestations de séneçon jacobée se rencontrent dans les Maritimes et dans le sud-ouest de la Colombie-Britannique, mais des infestations sporadiques ont été signalées au Québec et en Ontario. Cependant, le séneçon jacobée est une mauvaise herbe en Europe centrale, et l'introduction d'une telle souche continentale risquerait de donner à ce problème régional une envergure nationale.
Nuisibilité3, 4, 6, 8, 9, 10 : Tant à l'état frais qu'à l'état sec, le séneçon jacobée contient des alcaloïdes de type pyrrolizidine qui ne sont pas en eux-mêmes toxiques mais s'oxydent dans le foie et s'y transforment en pyrroles. Les pyrroles se fixent à l'ADN, empêchent la division cellulaire et provoquent des insuffisances hépatiques cumulatives et la mort. Toutefois, la dose létale (5 à 20 % du poids vif) peut prendre 1 à 18 mois avant de produire des effets visibles. Les bovins et les chevaux, surtout les jeunes, sont sensibles à la plante, même s'ils peuvent en consommer de petites quantités pendant de longues périodes sans être affectés. Les moutons et les chèvres sont plus résistants (chez la chèvre, la dose létale est de 125 à 400 % du poids vif). Les alcaloïdes altèrent le goût du miel et du lait (dont la teneur en matière grasse est réduite), mais leur concentration y est probablement trop faible pour être toxique.
Les bovins ne broutent généralement pas le séneçon jacobée, qui est toutefois difficile à éviter lorsque les rosettes (souvent à raison de 15/m2) poussent mêlées aux graminées dans tout le pâturage. En 1982, 29 % des pâturages de l'Île-du-Prince-Edouard étaient infestés, dont un tiers gravement, et les pâturages utilisés comptaient 1,7 à 4,3 sujets florifères/m² et 63,8 rosettes/m². Avant que des mesures de lutte biologique ne soient mises en oeuvre dans la région côtière de l'Oregon, les pertes annuelles de bovins atteignaient souvent 5 à 10%. Au Canada, les pertes étaient probablement du même ordre; chez les bovins abattus provenant des régions infestées, le foie est atteint dans la plupart des cas.
Les pulvérisations de 2,4-D ou de Banvel éliminent le feuillage du séneçon jacobée (et du trèfle blanc), mais les racines se régénèrent souvent. De plus, le 2,4-D fait augmenter la teneur en glucides hydrosolubles et en pyrrolizidine du feuillage pendant plusieurs semaines, ce qui accroît son appétibilité et sa toxicité. Le réensemencement d'un pâturage dont le sol a été travaillé et fertilisé ou simplement fertilisé élimine le problème jusqu'à ce que le pâturage se dégrade. Chez certaines espèces indigènes de séneçon, les alcaloïdes de type pyrrolizidine atteignent leur teneur maximale entre le milieu et la fin de l'été, et les bovins peuvent en être retirés pendant cette période; toutefois, chez le séneçon jacobée, la teneur en alcaloïdes reste élevée pendant toute l'année. Le fauchage, l'arrachage ou le sarclage ne sont pas des moyens de lutte efficaces. On peut faire brouter le séneçon jacobée par des moutons ou des chèvres, mais le gain de poids de ces animaux est alors plus faible.
Dans les Maritimes, les rosettes du séneçon jacobée sont souvent attaquées par une enrouleuse, le Cnephasia virgaureana.
Lutte biologique2, 3, 12 : Des chercheurs de Nouvelle Zélande ont entrepris des études sur le séneçon jacobée et ses ennemis en Grande Bretagne en 19271. En Europe, 22 insectes ravagent les fleurs, les tiges et les feuilles du séneçon jacobée, et 10 insectes en consomment les racines. Cinq de ces insectes ont été établis au Canada.
La défoliation causée par un papillon de nuit, le Tyria jacobaeae, peut réduire la production de graines et la survie hivernale du séneçon jacobée dans les Maritimes, où la saison de végétation est courte. Cependant, à long terme, dans les Maritimes et en Oregon, le ravageur n'a eu aucun impact observable sur la biomasse de la plante. Dans le sud-ouest de la Colombie-Britannique, comme ailleurs, ce sont les fluctuations d'origine climatique des populations de séneçon qui ont pour effet de réprimer ce ravageur, et non l'inverse.
Le Botanophila seneciella, diptère des capitules de graines, évite généralement les peuplements de séneçon jacobée, où il risque fort d'être mangé par le T. jacobaeae. Il recherche plutôt les petits sujets isolés.
Dans les régions à hivers doux, comme le sud-ouest de la Colombie-Britannique à moins de 800 m d'altitude, le coléoptère radicicole Longitarsus jacobaeae adopte une stratégie de recherche et destruction qui élimine le séneçon jacobée, sauf les graines enfouies. De nouvelles infestations apparaissent lorsque le sol est perturbé, mais elles sont, en situation idéale, repérées rapidement par le coléoptère. À de plus hautes altitudes et dans les Maritimes, ce ravageur commence à se reproduire trop tard pour être efficace. Dans l'ouest de l'Oregon, il est en grande partie responsable d'une réduction de 93% des populations de séneçon jacobée et a permis d'éviter des pertes annuelles de plus de cinq millions de dollars. Le L. flavicornis, étroitement apparenté, a besoin d'un climat plus chaud et comptait pour 10% de la population du genre Longitarsus dans une localité chaude de l'île de Vancouver. Dans le nord de la presqu'île Avalon (Terre-Neuve), le séneçon jacobée est attaqué massivement par le L. succineus. En septembre, l'alimentation des femelles en train de pondre donne aux feuilles de certaines rosettes l'apparence d'une dentelle, mais l'action de ces insectes est moins efficace que celle du L. jacobaeae en Colombie-Britannique. De plus, ce coléoptère a été relevé sur d'autres genres de Composées, comme les chrysanthèmes, les tanaisies et les eupatoires, et ne peut donc être utilisé ailleurs.
Le Cochylis atricapitana, lépidoptère qui se reproduit en été et consomme le collet ainsi que d'autres organes de la plante, commence à décimer les populations de séneçon jacobée de Nouvelle-Écosse. S'il faut trouver d'autres auxiliaires de lutte biologique pour les Maritimes, les candidats les plus prometteurs devraient être des rhizophages provenant de régions où l'hiver débute tôt et où les précipitations annuelles sont réparties de la même manière que dans les Maritimes. " cf http://res2.agr.ca/lethbridge/weedbio/plant/btanrag_f.htm
Donc attention au foin sur le moyen et long terme... |
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14.08.07 - 14:57 |
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protagoras |
# 138 ≡ Re: PS à l'exterieur toute l'année : resultat en course? |
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Platon a raison d’attirer notre attention sur les effets de trèfle rouge, dont on n’évoque que rarement les effets toxiques potentiels…et pour cause (business is business)
Le trèfle rouge ou trèfle des prés (trifolium pratense) est parfois recommandé comme remède aux problèmes de peau, tels l’eczéma ou le psoriasis et comme antitussif ; il arrive aussi qu’il soit prescrit à des femmes souffrant d’effets désagréables de la ménopause : bouffées de chaleur, transpirations… osthéoporose ! En fait les bienfaits de la plante n’ont jamais pu être rigoureusement démontrés ; mais une réputation solide freine quelque peu la mise en question ( il faut donc se débrouiller pour trouver de l’information… surtout si un gros labo a placé ses billes sur le coup ! )
On a donc beaucoup vanté les vertus du trèfle rouge, de façon publicitaire…i-e sans fondement scientifique : c’est facile de vérifier ce que l’on veut vérifier,…mais c’est une autre affaire que de se soumettre à des tests de falsification. Or le trèfle rouge n’a jamais subi, à cet égard, aucune épreuve de réfutation susceptible de démontrer pratiquement et théoriquement les vertus que l’on veut bien lui prêter, si ce n’est celle d’apaiser les douleurs mammaires ressenties après la ménopause. En revanche, une chose est sûre ( au sens épistémologique strict) : les isoflavones contenues dans le trèfle rouge altèrent légèrement le fonctionnement hormonal, donc la reproduction. En effet, les isoflavones sont des phytoestrogènes , dont la structure chimique diffère de celle des oestrogènes, mais dont l’effet est en une certaine mesure comparable à celui des oestrogènes ( à ce sujet, on a beaucoup plus étudié les isoflavones du soja que les isoflavones du trèfle rouge ). Ce qui est certain, c’est que cette action ( même faiblement) oestogénique des isoflavones du trèfle rouge ( notamment formononétine et biochanine ) influence, nécessairement, la reproduction.
En l’absence de données exhaustives exactes quant aux effets du trèfle rouge, il semble donc plus que raisonnable d’appliquer le principe de précaution, surtout lorsque l’on a constaté une incidence potentielle de la plante sur la régulation hormonale : car ce qui est, en cette matière, indifférent à un individu qui a dépassé sa phase de fécondité, peut s’avérer tout aussi lourd de conséquences sur un être en reproduction. Et on ne joue pas avec ça : ça nous fait être et nous dépasse …Alors respect, et tant pis pour les apprentis sorciers !
PS : de toute façon, quelque chose qui se fait passer pour…ça n’est vraisemblablement pas purement bon. Voilà pour la conclusion méthodologique et métaphysique ! ( Hommage à/aux Platon ) |
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15.08.07 - 00:49 |
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protagoras |
# 139 ≡ Re: PS à l'exterieur toute l'année : resultat en course? |
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Sites sur lesquels on peut trouver quelque information sur le trèfle rouge :
http://www.passeportsante.net/fr/Solutions/PlantesSupplements/Fiche.aspx?doc=trefle_rouge_ps http://www.nlm.nih.gov/medlineplus/druginfo/natural/patient-redclover.html
Je me permets de citer ce dernier site ( prudent mais honnête ) : " Red clover (Trifolium pratense) BackgroundReturn to top
Red clover is a legume, which like soy contains "phytoestrogens" (plant-based chemicals that are similar to estrogen, and may act in the body like estrogen or may actually block the effects of estrogen). Red clover was traditionally used to treat asthma, pertussis, cancer, and gout. In modern times, isoflavone extracts of red clover are most often used to treat menopausal symptoms, as an alternative hormone replacement therapy, for high cholesterol, or to prevent osteoporosis. However, at this time, there are no high-quality human studies supporting the use of red clover for any medical condition.
SynonymsReturn to top
Ackerklee (German), beebread, cow clover, genistein, isoflavone, isoflavone clover extract (ICE), meadow clover, phytoestrogen, Promensil®, purple clover, Rimostil®, Rotklee (German), trefle des pres (French), trefoil, trifolium pratense, Trinovin®, wild clover.
EvidenceReturn to top
These uses have been tested in humans or animals. Safety and effectiveness have not always been proven. Some of these conditions are potentially serious, and should be evaluated by a qualified healthcare provider. Uses based on scientific evidence Grade* Cardiovascular - blood flow
Red clover has been shown to improve the flow of blood through arteries and veins. However there is limited study in this area and more research is needed before a conclusion can be drawn. C Diabetes
Red clover has been studied in patients with type 2 diabetes to determine potential benefits in diabetic complications such as high blood pressure and narrowing of the arteries and veins.Further research is needed before a recommendation can be made. C High cholesterol
Red clover has not been clearly shown to have beneficial effects on blood cholesterol levels. Due to conflicting study results, further research is needed in this area before a recommendation can be made. C Hormone replacement therapy (HRT)
Laboratory research suggests that red clover isoflavones have estrogen-like activity. However, there is no clear evidence that isoflavones share the possible benefits of estrogens (such as effects on bone density). In addition, hormone replacement therapy itself is a controversial topic, with recent research reporting that the potential harm may outweigh any benefits. C Menopausal symptoms
Red clover isoflavones are proposed to reduce symptoms of menopause (such as hot flashes), and are popular for this use. Blood pressure and triglyceride levels may be lowered. However, most of the available human studies are poorly designed and short in duration (less than 12 weeks of treatment).As results of published studies conflict with each other, more research is needed before a clear conclusion can be drawn. C Osteoporosis
It is not clear if red clover isoflavones have beneficial effects on bone density. Most studies of isoflavones in this area have looked at soy, which contains different amounts of isoflavones, as well as other non-isoflavone ingredients. More research is needed before a recommendation can be made. C Prostate cancer
Red clover isoflavones may have estrogen-like properties in the body, and have been proposed as a possible therapy in prostate cancer and related hot flashes. Some isoflavones have also been shown in laboratory studies to have anti-cancer properties. Because there is no-well designed human research in this area, a recommendation cannot be made. C Prostate enlargement (benign prostatic hypertrophy)
There is only limited study of red clover for benign prostatic hypertrophy. More research is needed before a firm conclusion can be drawn. C
*Key to grades A: Strong scientific evidence for this use; B: Good scientific evidence for this use; C: Unclear scientific evidence for this use; D: Fair scientific evidence against this use; F: Strong scientific evidence against this use.
Grading rationale Uses based on tradition or theory The below uses are based on tradition or scientific theories. They often have not been thoroughly tested in humans, and safety and effectiveness have not always been proven. Some of these conditions are potentially serious, and should be evaluated by a qualified healthcare provider.
Acne, AIDS, antibacterial, antioxidant, anti-spasm, appetite suppressant, arthritis, asthma, blood purification, breast cancer prevention, bronchitis, burns, cancer, cancer prevention, canker sores, cardiovascular disease, cognitive function, cough, chronic skin diseases, diuretic (increase urine flow), eczema, endocrine responsive cancer, gout, increasing HDL cholesterol, indigestion, mastalgia (breast pain), osteosarcoma, premenstrual syndrome, psoriasis, sexually transmitted diseases, skin ulcers/sores, sore eyes, tuberculosis, whooping cough (pertussis).
DosingReturn to top
The below doses are based on scientific research, publications, traditional use, or expert opinion. Many herbs and supplements have not been thoroughly tested, and safety and effectiveness may not be proven. Brands may be made differently, with variable ingredients, even within the same brand. The below doses may not apply to all products. You should read product labels, and discuss doses with a qualified healthcare provider before starting therapy. Adults (18 years and older) Various doses of red clover isoflavones have been used to treat conditions. For instance, for benign prostatic hypertrophy, 40 milligrams of red clover isoflavones per day (Trinovin®) has been studied. For breast cancer prevention,a red clover-derived isoflavone tablet containing 26 milligrams biochanin A, 16 milligrams formononetin, 1 milligram genistein and 0.5 milligram of daidzein has been studied.
For cardiovascular disease, 86 milligrams per day for one month has been studied.For diabetes, 50 milligrams and 86 milligrams per day of red clover isoflavones per day have been studied for diabetic complications.For high cholesterol 28 to 86 milligrams of red clover isoflavones per day (Rimostil®), or 80 milligrams of red clover isoflavones per day (Promensil®) has been studied.For hormone replacement, 40 to 80 milligrams of red clover isoflavones per day (Promensil®) has been studied.
For menopausal symptoms 40 milligrams, 80 milligrams, or 160 milligrams of red clover isoflavones per day (Promensil®) has been studied. Rimostil® (57 milligrams of red clover) has also been used. For osteoporosis 40 milligrams of red clover isoflavones per day (Promensil®) has been studied.
Children (younger than 18 years) There is not enough scientific evidence to recommend use of red clover in children.
SafetyReturn to top
The U.S. Food and Drug Administration does not strictly regulate herbs and supplements. There is no guarantee of strength, purity or safety of products, and effects may vary. You should always read product labels. If you have a medical condition, or are taking other drugs, herbs, or supplements, you should speak with a qualified healthcare provider before starting a new therapy. Consult a healthcare provider immediately if you experience side effects. Allergies People with known allergies or reactions to products containing red clover or isoflavones should avoid taking red clover.
Side Effects and Warnings A small number of human studies using red clover extracts have all reported good tolerance, without serious side effects after up to one year of treatment. In theory, based on the estrogen-like action of red clover seen in laboratory studies, side effects may include weight gain or breast tenderness, although these have not been reported clearly in humans. In theory, menstrual changes and increased uterus cell growth (endometrial hyperplasia) may also occur, although preliminary short-term studies (less than six months) have found no increases in uterus wall (endometrial) thickness with red clover. Red clover may affect hormonal levels of gonadotropin releasing hormone (GrH), follicle stimulating hormone (FSH), and leutinizing hormone (LH), although early research has not found significant change in FSH or LH levels.
In theory, red clover may increase the risk of bleeding. However, there are no reliable human reports of bleeding with red clover. Caution is advised in patients with bleeding disorders or taking drugs that may increase the risk of bleeding. Dosing adjustments may be necessary.
Red clover has been studied for lowering blood sugar with inconclusive results. Caution is warranted until further research is available.
Pregnancy and Breastfeeding Red clover is not recommended during pregnancy and breastfeeding due to its estrogen-like activity. Red clover has been reported as a possible cause of infertility and abortion in grazing livestock.
InteractionsReturn to top
Most herbs and supplements have not been thoroughly tested for interactions with other herbs, supplements, drugs, or foods. The interactions listed below are based on reports in scientific publications, laboratory experiments, or traditional use. You should always read product labels. If you have a medical condition, or are taking other drugs, herbs, or supplements, you should speak with a qualified healthcare provider before starting a new therapy. Interactions with Drugs Based on laboratory studies, red clover may interfere with the way the liver processes some drugs using an enzyme called cytochrome P450 3A4. As a result, the levels of these drugs may be increased in the blood, and may cause increased effects or potentially serious adverse reactions. Patients using any medications should check the package insert and speak with a healthcare professional or pharmacist about possible interactions.
In theory, red clover may increase the risk of bleeding when taken with drugs that increase the risk of bleeding. Some examples include aspirin, anticoagulants ("blood thinners") such as warfarin (Coumadin®) or heparin, anti-platelet drugs such as clopidogrel (Plavix®), and non-steroidal anti-inflammatory drugs such as ibuprofen (Motrin®, Advil®) or naproxen (Naprosyn®, Aleve®). Because red clover contains estrogen-like chemicals, the effects of drugs with estrogen or estrogen-like properties may be altered, such as birth control pills or hormone replacement therapies like Premarin® and Provera®.
Red clover has been studied for lowering blood sugar with inconclusive results. Caution is warranted if you are diabetic or taking other medications that me lower blood sugar until further research is available.
In theory, red clover may interact with other estrogen containing medications. Red clover contains phytoestrogens, which are plant-based chemicals that are similar to estrogen, and may act in the body like estrogen or may actually block the effects of estrogen).
Interactions with Herbs and Dietary Supplements Based on laboratory studies, red clover may interfere with the way the liver processes some drugs using an enzyme called cytochrome P450 3A4. As a result, red clover may cause the levels of other herbs or supplements to be too high in the blood. It may also alter the effects that other herbs or supplements possibly have on the P450 system.
In theory, red clover may increase the risk of bleeding when taken with herbs or supplements that increase the risk of bleeding. Multiple cases of bleeding have been reported with the use of Ginkgo biloba , fewer cases with garlic, and two cases with saw palmetto. Numerous other agents may theoretically increase the risk of bleeding, although this has not been proven in most cases.
Because red clover contains estrogen-like chemicals, the effects of other agents believed to have estrogen-like properties may be altered.
Red clover has been studied for lowering blood sugar with inconclusive results. Caution is warranted if you are diabetic or taking other herbs or supplements that may lower blood sugar until further research is available.
Methodology Return to top
This information is based on a professional level monograph edited and peer-reviewed by contributors to the Natural Standard Research Collaboration (www.naturalstandard.com): Ernie-Paul Barrette, MD (Case Western Reserve School of Medicine); Ethan Basch, MD (Memorial Sloan-Kettering Cancer Center); Samuel Basch, MD (Mt. Sinai Medical Center, NY); Steve Bent, MD (University of California, San Francisco); Edzard Ernst, MD, PhD (University of Exeter); Sadaf Hashmi, MD, MPH (Johns Hopkins School of Hygiene and Public Health); Jamie Nelsen, PharmD (University of Rhode Island); Adrianne Rogers, MD (Boston University School of Medicine); David Sollars MAc, HMC (New England School of Acupuncture); Philippe Szapary, MD, MPH (University of Pennsylvania); Candy Tsourounis, Pharm D (University of California, San Francisco); Catherine Ulbricht, PharmD (Massachusetts General Hospital); Wendy Weissner, BA (Natural Standard Research Collaboration).
Methodology details
Selected references Return to top
1. Atkinson C, Compston JE, Robins SP, et al. The effects of isoflavone phytoestrogens on bone: preliminary results from a large randomized controlled trial. Endocr Soc Annu Meet Program 2000;82:196. 2. Atkinson C, Compston JE, Day NE, et al. The effects of phytoestrogen isoflavones on bone density in women: a double-blind, randomized, placebo-controlled trial. Am.J Clin.Nutr. 2004;79(2):326-333. 3. Atkinson C, Warren RM, Sala E,et al. Red-clover-derived isoflavones and mammographic breast density: a double-blind, randomized, placebo-controlled trial [ISRCTN42940165]. Breast Cancer Res. 2004;6(3):R170-R179. 4. Baber RJ, Templeman C, Morton T, et al. Randomized placebo-controlled trial of an isoflavone supplement and menopausal symptoms in women. Climacteric 1999;2:85-92. 5. Beck V, Unterrieder E, Krenn L, et al. Comparison of hormonal activity (estrogen, androgen and progestin) of standardized plant extracts for large scale use in hormone replacement therapy. J Steroid Biochem.Mol.Biol. 2003;84(2-3):259-268. 6. Howes J, Waring M, Huang L, et al. Long-term pharmacokinetics of an extract of isoflavones from red clover (Trifolium pratense). J Altern.Complement Med. 2002;8(2):135-142. 7. Howes JB, Sullivan D, Lai N, et al. The effects of dietary supplementation with isoflavones from red clover on the lipoprotein profiles of post menopausal women with mild to moderate hypercholesterolaemia. Atherosclerosis 2000;152(1):143-147. 8. Howes JB, Tran D, Brillante D, et al. Effects of dietary supplementation with isoflavones from red clover on ambulatory blood pressure and endothelial function in postmenopausal type 2 diabetes. Diabetes Obes.Metab 2003;5(5):325-332. 9. Rossouw JE, Anderson GL, Prentice RL, et al. Risks and benefits of estrogen plus progestin in healthy postmenopausal women: principal results From the Women's Health Initiative randomized controlled trial. JAMA 7-17-2002;288(3):321-333. 10. Nelson HD, Vesco KK, Haney E, et al. Nonhormonal therapies for menopausal hot flashes: systematic review and meta-analysis. JAMA. 2006 May 3;295(17):2057-71. 11. Teede HJ, McGrath BP, DeSilva L, et al. Isoflavones reduce arterial stiffness: a placebo-controlled study in men and postmenopausal women. Arterioscler.Thromb.Vasc.Biol. 6-1-2003;23(6):1066-1071. 12. Tice JA, Ettinger B, Ensrud K, et al. Phytoestrogen supplements for the treatment of hot flashes: the Isoflavone Clover Extract (ICE) Study: a randomized controlled trial. JAMA 7-9-2003;290(2):207-214.
December 01, 2006. " Et j'en remets une couche : " In theory, red clover may interact with other estrogen containing medications. Red clover contains phytoestrogens, which are plant-based chemicals that are similar to estrogen, and may act in the body like estrogen or may actually block the effects of estrogen"
Conclusion : ...
Enfin, pour donner une nouvelle toute petite idée des enjeux : " Le laboratoire Christian Doppler pour la biotechnologie des récepteurs étudiera et évaluera l'efficacité des herbes et des extraits de plantes médicinales. Le trèfle vert (Trifolium pratense), l'actée à grappes (Cimicifuga racemosa) et le soja seront plus particulièrement ciblés, ces plantes pouvant constituer une alternative aux traitements des dérèglements du métabolisme et aux traitements de prévention des cancers hormono-dépendants. Elles renferment effectivement des substances capables de mimer les hormones du corps humain, sexuelles ou stéroïdes. L'équipe d'Alois Jungbauer, professeur à l'Université agronomique de Vienne, cherchera à isoler ces substances actives, afin de décrypter peu à peu les modes d'action des extraits de plantes en circulation. Car employer ces extraits sur la base de connaissances empiriques, à l'instar de guérisseurs, ne suffit plus : les mécanismes sous-jacents peuvent et doivent être compris, quand bien même ces extraits seraient des mélanges complexes. Les préparations à base de trèfle rouge peuvent ainsi contenir 300 substances bioactives, dont une cinquantaine influeront le système endocrinien. Alois Jungbauer s'intéressera d'abord aux effets des polyphénols naturels sur les récepteurs hormonaux : récepteurs aux oestrogènes, à la progestérone, à l'androgène et à l'arylhydrocarbone. Le nouveau laboratoire disposera pour cela d'un budget de 400 000 euros/an, issu pour moitié de l'entreprise pharmaceutique Melbrosin, à l'origine de produits parapharmaceutiques tirés de substances naturelles (Menoflavon, Melprosia, Melpromen, Androflavon...). De fait, les laboratoires rattachés à la société de recherche appliquée Christian Doppler (CDG) sont cofinancés par le public et le privé. Résultat d'une collaboration entre des chercheurs et une ou plusieurs entreprises, ils sont créés pour sept ans et soumis à évaluation à mi-parcours. Contacts : - Alois Jungbauer, Universitat für Bodenkultur, Muthgasse 18, A-1190 Wien - tel : +43 1 36006 6226, fax : +43 1 3697615, alois.jungbauer(a)boku.ac.at - Christian Doppler Forschungsgesellschaft, Weyringergasse 33/3, A-1040 Wien - http://www.melbrosin.at Sources : CDG, 01/07/2005, APA, 13/07/2005
Sources : Ambassade de France en Autriche- Adit" cf http://www.info-veille-biotech.com/index.php?lettre=70 |
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15.08.07 - 02:03 |
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