Ramené aux balances par un Cheikh Mohammed radieux (c'est-à-dire une petite lueur dans les yeux), Doyen paraissait très fringant confirmant l’impression de dérisoire facilité qu’a inspiré sa victoire. Mais après la course, je ne devais pas être le seul à éprouver la sensation un peu amère que l’Arc était couru. Amertume vite compensée, car cette victoire et la performance de Sulamani remettent au goût du jour l’immense valeur de Dalakhani (mais aussi celle d'Alamshar le maudit), l’an passé, et il nous serait très agréable de revoir Super Célèbre et Mubtaker fouler-victorieusement- un champ de courses, pour faire siéger définitivement le vainqueur de l’Arc 2003 à côté des plus grands.