Ce titre, pillé sans vergogne au patrimoine littéraire allemand évoque un week-end classique qui nous aura apporté beaucoup de ce que le sport hippique est capable de susciter comme émotions.
1/ La joie
L’élevage français à l’honneur (dans le Lupin, les deux premiers « nés et élevés » !) avec notamment ses étalons maison : Bering, Linamix (en folie en ce moment), Trempolino ou Valanour, fonctionnaire inattendu. Bering est par ailleurs le père de mère de Torestrella.
2/ Le frisson
On a souvenir de Dayjur, (fils de Danzig, comme Antonius Pius…), sprinter phénoménal, un des plus grands de l'histoire, qui avait course gagnée dans une édition de la Breeder’s Cup Sprint mais qui, effrayé par une ombre « sauta » par-dessus, ce qui lui coûta la victoire.
Mais ce qu’on a vu Dimanche…